Chapitre Deux : La verité

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9 juin 1993, environs trois semaines après mon admissions dans ce poste de ménage, ils n'ont pas arrêté de me surveiller, oui, je parle des trois hommes bizarre qui m'observent, puis il s'est passé quelque chose, ils m'interdisent d'aller dans une salle, je ne comprends pas pourquoi, pourtant, elle a l'apparence de ne pas être ranger, ils m'ont adressé la parole, ils parlent anglais, et me font remarque des défauts de mon rangement, toujours à me répéter "behind you" alors que j'allais le faire la plupart du temps, vraiment l'impression que c'est gars habillé bizarrement me prennent pour un con, ça se trouve je suis dans le bâtiment du Ku Klux Klan.

Je remarque que c'est gens vont dormir tôt, vers neuf heure du soir, je pense que je vais en profiter pour aller dans cette salle qui m'inspire pas confiance, mais si ils le découvrent, adieu moi, et ma famille surtout.

Bon, je n'ai rien à perdre à aller dans cette salle, je suis déjà si bas, il me faudrait creuser pour, mais voilà qu'une main se pose sur mon épaule, tout en sueur, je demandais.

"Qui est-ce ?"

"Ne t'inquiète pas, il est temps que tu apprenne la vérité" me dit-il.

Je me retourna, et vit mon père, mais qui sont les deux autres ? Je ne le saurais surement pas ce soir, mais que fait mon paternelle ici ?Je n'aurais surement pas de réponse maintenant je suppose.

"Quel est cette salle, que vous m'avez interdite, père ?" dis-je à voix basse.

"Un secret de ce manoir, allons vers les fenêtres, je me dois te t'expliquer mon absence lors de ton enfance" me répondit-il.

"Pourquoi je t'écouterai, tu m'a abandonner, je n'avais à peine 4 ans" répondant à cette personne que je ne considère pas comme mon père.

"Car tu dois apprendre la vérité de mon absence, ta mère, Marie, a toujours tout fait pour que je ne te revoie plus, et j'en suis désolé." répliquant.

"Tu ne m'a même pas envoyé une seule lettre" je répondis avec de l'énervement.

"Mais si, je t'en ai envoyé plein." Comme si j'allais croire à ce mensonge.

"Je n'ai rien reçu"

"Pourtant, je t'assure que si, ah surement ta mère."..Pense t-il vraiment que je vais gober ça ?

"Bon, bonne nuit" répondais-je.

L'étrange HistoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant