Une fin

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Dans les rouages du temps ,

Mon esprit vacille au gré du vent ,

J'en perds ma personnalité ,

Je, tu , il , nous , qui suis je vraiment ?

Je me sens dans la peau d'un mort vivant.

Je nous voyais comme deux amant ,

Ta vision voulu que ça soit différent ,

Tu as refusé de voir l'éternité ,

Et me voilà de nouveau comme avant ,

Qu'ai je fais pour toujours être dans la peau du perdant ?

Je ne verrai donc plus ce sourire sur ton visage,

Et dans le creux de mon coeur tonne un terrible orage ,

Celui de mon amour pour toi qui traverse les âges ,

Pour finalement se prendre le premiers mur de passage.

Je vais devoir avancer en solitaire,

Car parait il j'ai un coeur de pierre,

En tout cas il s'est brisé ,

Il n'en reste plus que des graviers ,

Que tu piétinnes avec tes nouveaux souliers ,

Représentant ta determination étant la clé

Qui va te permettre de m'oublier.

Merci à D.

Pen.

Pour qui sont ces poèmes qui sautent sur votre écran.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant