Partie II "Le défilé."

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(Vendredi pendant les deux heures de colles.)

Psss.

-"Qu'est ce qu'il y a ?" (en chuchotant).

-" Ça te dirais qu'on aille à la plage ? Quand on aura fini ces putains d'heures de colles." me demande Naomie.

-" Beh ouais de fou! "

-" Demande aux filles si ça leurs dit." dit elle avec son fameux sourire.

Je lui souris à mon tour et me retourne vers les filles pour leurs demander.

-" Les filles! Naomie propose d'aller à la plage après. Ça vous dis? " (en chuchotant).

-" Ouais ouais, ça serait cool mais comment on va faire pour se baigner ? On a pas pris de maillot de bain. " me demande Louna.

-" Ah beh ouais ces vrai! Je ne veux pas mouiller mes vêtements moi! " dit Mira.

-" Ces vrai que je n'y avais pas pensée. Attendez, je vais lui demander."

-" Elles seraient d'accord. Mais on a pas de maillot comment veux-tu qu'on se baigne à la plage? "

-" Non mais vous vous foutez de moi, vous quatre ?! Je ne vous ai pas collés pour que vous fassiez la discutions au fond de ma classe! Si ça continue, je vais vous coller une seconde fois! " nous cria la prof.

-" Bien sur que non, madame. On ne recommencera pas promis. "répondit Naomie à la prof.

La prof secoua la tête de haut en bas pour nous laisser une seconde chance. Mais nous avertit qu'il n'y en aura aucune autre. Elle se retourne enfin.

Naomie nous regarde et nous fait un grand sourire. Ce qui veut dire, qu'elle y avait déjà pensée.

En sortant de la salle d'heures de colles.

-" Bon alors comment on fait ? "demande Louna.

-"On va d'abord passer chez moi pour prendre des maillots." répond Naomie.

-"Mais tu en aura assez pour nous toutes ? " demande Mira

-"Les filles, voyons. Vous savez très bien que je change de maillot de bain tous les étés. Donc oui, j'en aurai assez pour nous toutes. Vous pourrez même choisir, celui qui vous plaira". Rigola t-elle.

Par ces mots, elle commença à marcher en direction de sa voiture qui était sur le parking du lycée. Une belle décapotable rouge, tout à fait à son image, se disposait en face de nous. On grimpa dedans et s'en alla à toute vitesse, en laissant au passage les marques des pneus sur le goudron.

Elle avait allumée la musique à font, on avait les cheveux au vent, les lunettes de soleil, la chaleur de l'été qui approchait et nous qui chantons . Les passants nous regardaient, on en rigolait.

 Les passants nous regardaient, on en rigolait

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La plage.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant