De Populaire À Détestée.

Le jour où tout a changer.

Nous sommes samedi soir, il est 19 heure, Kalvin était à la maison depuis déjà 3 heures. Avec 2 de ses amis il était en train de décorer la salle ainsi que de remplir le bal. Pendant ce temps, moi je m'étais installer dans ma chambre afin de me préparer.

- "Fond de teint ok, mascara ok, été liner ok, rouge à lèvre ok."

Je me lissa simplement les cheuveux et mis ma robe noir moulante. Je n'avais pas de soutient gorge pour que ma poitrine soit encore mieux mise en valeur.

Quand je descendis, Kalvin arriva et m'embrassa violemment. Ce qui détruisit mon rouge à lèvre. Je lui lança un regard noir puis remonta me maquiller.

En redescendant, je vis que les premiers invités étaient arrivés. Je les accueillis un verre à la main ainsi que mon sourire hypocrite accroché au visage.

La soirée avançait et les jeunes était tous de plus en plus défoncés. Ceux qui ne dansaient pas au milieux de la piste était dehors à vomir ou à fumer. Certain occupaient aussi les chambres du haut pour soit disant ""dormir"".

Moi, je draguais ouvertement un grand blond, capitaine de l'équipe de basket. Kalvin était bourré et de toute façon il n'imaginerai j'aimais la possibilité que je puisse le tromper.

Vers 3 heures du matin, le grand blond était entièrement à moi. Alors que je l'embrassais, il me plaqua sur une table ce qui renversa les bouteilles d'alcool qui étaient posés dessus.

L'alcool était répandu partout dans la pièce mais je ne m'en soucia pas. Je continua d'embrasser mon beau blond.

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Alors que nous allions monter dans ma chambre, je sentis une odeur de bruler. En descendant je vis une bande de garçon affolés qui essayait d'étendre le rideau qu'ils avait enflammés à cause de leurs cigarettes.

Je tira le rideau et le jeta au milieu de la pièce. Ensuite tout ce passa très vite.

Un feu énorme de déclara au milieu de la maison. Les adolescent mort de peur sortirent de la maison, pendant que certain allaitent réveiller ceux qui étaient en haut, d'autres essayaient d'arrêter l'incendie.

Voyant que le feu se propageait toujours, tout le monde abandonna ma maison me laissant seule dans ma galère. Je voulu sortir aussi mais la porte se mis elle aussi à brûler ce qui m'empêcha de sortir.

J'avais beau crier à l'aide, personne ne vint m'aider. Je voyais de plus en plus flou et ma gorge me brûlait horriblement.

Alors que je m'imaginais les pire scénario, la porte fut défoncé par un pompier. Il me traina jusqu'à la porte et je pût enfin sortir.

Je passa la fin de la soirée dehors, seule, dans le froid à regarder ma maison bruler ainsi que les pompier essayant de sauver le peu de choses qu'il me restait.

Un policier m'aborda pour me poser quelques questions :

- "Bonsoir jeune fille, es-ce votre maison ?"

Je lui répondit très froidement :

- "Oui."

- "J'aurai quelques questions à vous posez êtes vous d'accord ?"

- "Ai je le choix ?"

- "Non. Bien pour commencer quel est votre nom ?"

- "Lydia Dall."

- "Bien, comment l'incendie s'est t-il déclencher ? Et étiez vous seule ce soir ? Qui sont vos parents ?"

- "Mes parents sont en voyage d'affaire. Je ne sait pas comment l'incendie s'est déclencher mais ce soir j'étais seule avec mon copain."

Je n'avais aucun scrupule à mentir à ce pompier, cela ne me fit ni chaud ni froid.

- "Dans ce cas où est votre petit amis ?"

Je n'avais pas remarquer mais tout le monde était parti. Même Kalvin. Bande de salaud. C'est décider, demain je les laisse tous tomber, je me trouverai bien une nouvelle bande qui me sera plus fidèle.

- "Je ne sais pas monsieur, il a dût avoir peur."

Je pris mon air larmoyant pour accentuer le malaise présent et le pompier décida enfin de me lâcher.

Heureusement, j'ai pût récupérer mon téléphone et appela Clarisse pour lui demander de m'héberger.

- "Allô choupette, comme tu as pût le voir lors de ma petite soirée, ma maison a un peu pris feu si tu vois ce que je veux dire. Je peut pas dormir chez toi ce soir ?"

Elle mis quelques secondes avant de répondre ce qui n'était pas bon signe.

- "Hmmm... Écoute, la dernière fois que tu est venu, tu à draguer mon frère et fais pleurer ma mère donc je ne pense pas qu'il accepterons..."

- "Aller ste plait ! En plus fallais vraiment que quelqu'un dise à ta mère qu'un régime s'imposait pour elle. T'a vu s'est bourlets ?"

- "C'est pas une raison. Bon moi je vais dormir. Au revoir."

Elle me raccrocha au nez. J'y croit pas quel culot. Je passa une bonne heure au téléphone afin de trouver quelqu'un pouvant m'accueillir chez lui mais personne ne voulais de moi. Même pas Kalvin.

Je n'avais vraiment pas envie de dormir dehors donc je tenta ma chance chez mes voisins.

Ma propriété étant très grande, il n'était sans doute pas au courant de l'incendie. De plus, ce sont généralement des personnes ouvrières n'ayant aucun points commun avec moi. Je ne leurs parlaient donc jamais mais ils étaient vraiment mes derniers recours.

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