chapitre 5

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" Maman, maman regarde. Papa m'a offert un mouton...

Papa, apprend moi à tondre mon mouton.

Maman, on mange quand ?

Papa, je peux venir avec toi voir les vaches.

Maman, je peux venir avec toi au marché..."

Reto se réveilla en criant : "PAPA, MAMAN!!"
Il était enfermé dans une prison avec près de lui son petit frère. Des tas de questions arrivaient alors dans son esprit. Ses parents, son village.

Reto est entouré de barreaux et sentait le sol bouger. Ils étaient dans une prison tiré par de cheveux. En regardant derrière lui, il aperçut d'autres prisons avec les autres enfants du village. Il regardait le soldat proche de la cage. Il était grand, moustachu avec une tenue bleu, une côté de maille au niveau du coup qui descendait husqu'au genou avec au dessus, un plastron qui semblait lourd et une épée à la main.
"Il n'a pas l'air très intelligent, il est peut être même complètement con. Assassiner un village sans aucun scrupule."

Pendant la route, il observait les alentours. Il regardait les paysages, des paysages qu'il n'avait jamais vu. Un marais avec des saules pleureur rempli de grenouilles et autres crapauds. Un petit désert qui donnait sur une montagne géante recouverte de neige. Puis après quelques heures, une silhouette gigantesque, la cité des envahisseurs.
"Pas mal, hein les mioches ? Hurla le soldat à la moustache"
"Aussi moche que ta face" rétorqua Reto.
Le soldat vexé tapa sur la cage comme pour menacé et réveilla enfin le petit frère de Reto.
"Elici, enfin. Ça fait plusieurs heures que tu est inconscient.
-Vraiment. Mais, ou sommes nous ? MAMAN, PAPA ! Ou sont ils Reto, ou sont ils ?
-ils sont mort Elici, tué par cet homme." Répondit Reto en pointant le soldat du doigt.
Elici commença à pleurer.
Il n'était pas préparé à cette nouvelle.

De plus en plus, la cage s'approchait de la ville, de plus en plus mes sentiments revenait.
"J'avais à nouveau une raison de vivre. Protéger mon frère. Le protéger lui. Le protéger mieux que je n'ai su protéger mes parents." Pensa alors Reto.
Une larme coulait alors sur sa joue. Il pris son frère dans ses bras.

La géante porte de la cité s'ouvrait alors. Je découvrait le visage des milliers d'hommes et de femmes habitants la cité du "meurtre". La cité qui m'a volé mes parents, ma maison.

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