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Quelque part, dans un endroit, sur une planète, d'un univers. Il y a des gens qui sourissent, d'autre périssent, à chacun sa petite histoire, à chacun ses drames, à chacun ses larmes.

Un jour la lueur du soleil avait atteint mon visage, se fut merveilleux. Je me suis senti revivre le temps d'un instant.

Cette année aura été décisive sur beaucoup de points, il aura fallut affronter la dur réalité de la vie. Pas aussi belle ni aussi jolie que ce que l'on nous décrit dans les pubs et les magazines, pour moi elle aura été pourrie. Peut être qu'un jour moi aussi je la trouverai jolie, mais comme on nous l'as toujours appris, la vie est dure.

Moi, Marie, jeune fille âgée de 15 ans j'habite une petite maison situé au milieu d'immenses demeures . Je ne sais pas trop comment je me suis retrouvée là, ma mère m'as toujours dis que c'était un coin de paradis. Personnellement je voie plutôt ça comme un trou à rat, mais je la comprend quand on a pas le choix on fait avec ce que l'on as. Et moi c'est cette maison, quand je regarde les autres maisons, j'ai l'impression d'être entouré de couverture de magazine.

Je n'ai pas vraiment d'amis, d'ailleurs je n'aime pas trop avoir des relations avec les autres donc moi ça ne me dérange pas, mais apparemment dans mon collège ça dérange. Je suis souvent victime de moquerie qui ne m'ateignent pas tant que ça, mis appart une remarque qui devient récurrente... "Alors on habite dans une cabane?". Ses paroles mêlées de rires idiots, je ne l'accepte pas mais je n'ai pas le choix. A cause de cela je ne rentre plus directement chez moi après les cours, de peur que quelqu'un me suive pour voir ma maison et surement la prendre en photo avec moi devant bien sur, puis la publier sur les réseaux ou je ne sais quelle connerie . Vendredi ce que je redoutais est arriver ma maison c'était retrouvée sur Facebook bien sur on arrivait à bien distinguer mon visage , dans les commentaires il y avait marquer des choses atroces, digne de mentalité de collégien: "C'est la maison de la sorcière n'allez pas là-bas ou elle vous tuera", "Même un clochard ne voudrais pas de cette maison", " Tu devrais te suicider en brûlant ta maison, deux choses inutiles qui serons réduites en cendre quel bonheur pour la planète!!"... Tout se cirque durera le temps de deux jours et prendras fin lorsque Charlène publia une photo d'elle et de son nouveau petit copain a moitié à poil lors d'une soirée arrosée.

Trois jours plus tard, quand je pensais être débarrasser des moqueries sur les réseaux. De retour dans mon collège tout le monde me dévisagea de regards haineux chaque personne qui me croisa me mettrai un coup d'épaule, d'autres m'ont craché au visage. Dans mon entourage on m'as toujours dis que j'étais une fille forte, mais au fond je commençait à être fissurée, cette vie me rongeait de l'intérieur. Mes parents ne savaient pas ce qu'il se passait au collège ni nulle part ailleurs , je garde bien évidemment tout cela pour moi, pas question que quelqu'un d'autre le sache.

Plus les jours passais plus les agressions verbales devenaient violentes irrégulières , puis un jour ils en sont venus au coups. Tout les soirs je me glissais sous ma couette pour pleurer en silence, la douleur d'être détestée devenait de plus en plus forte. Pleurer me faisait du bien, une libération de toute ses souffrances que pouvais m'infliger la vie. Je commençais a devenir de plus en plus faible, plus grand chose ne m'intéressait, je restais enfermer dans ma chambre devant mon ordinateur, je ne mangeait plus tant que ça. Ma mère a sûrement dus faire des économies, parfois la nuit je sortais en cachette pour marcher et admirer les insectes qui se cognent sur la lumière des lampadaires . Oui pathétique , petit, mais si seulement quelqu'un pouvais m'aider à me sortir de cette vie, pour ne pas rester frustré comme des insectes.Asie sur un banc je regardais mes pieds au sol. Des larmes ce sont mises a couler sur mes joues, pleurer devenait une habitude pour moi comme une drogue dont on ne pourrais ce passer, je pleurais tout les jours maintenant parfois ils se mêlaient à des rires des rires faux, des rires fou. Je me suis levée pour rentrer chez moi, dans mon lit je ferma les yeux pour me laisser emporter par la nuit qui m'emporte moi aussi.

Crime au paradisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant