Prologue

50 1 1
                                    

C'est étrange, qu'aujourd'hui encore, il n'existe pas d'exacte mot pour définir ce que je ressentais.

Malgré la complexité de ce sentiment je pense pouvoir essayé de le décrire.

Ce sentiment ineffable que je ressentais est un étrange mélange de colère, de peur et de tristesse.

Je me sentais vide, que la seul chose restante en moi était un cœur abimé qui peinais a battre sous le poids des blessures qu'on lui a infligé.

J'ai aussi eu l'impression de tout raté, c'est dure de ce dire qu'on n'arrive a rien.

Ce sentiment emportais avec lui un sentiment autant angoissant que trouble, c'est de ne pas réussir a s'imaginer un futur, ne pas parvenir a ce projeter dans un avenir quel qu'il soit.

Une partie importante de ce sentiment est aussi basé sur un sentiment d'infériorité qui contient des liens étroits avec le sentiment d'impuissance, impuissance contre le monde, impuissance contre la dureté de la vie, impuissance contre le manque d'amour.

Je me sentais impuissant face au horreur du monde qui m'entour.

Tout ces sentiments, tout ces ressentis, toutes ces choses qui blesse me faisais me sentir seul et perdu.

Je cherchais pourtant en vain ma place dans cette vie et mon bute dans celle-ci.

Et je pensais que la seul chose capable de me "guérir" était une chose en laquelle je ne voulais plus croire, l'Amour...

Je ne voulais plus croire en quelque chose qui a mes yeux faisais plus de mal que de bien. J'avais peur de croire au romantisme.

Certaines personnes qui m'ont déçus mon donner la preuve que ces 2 choses avaient disparu.

Le seul éclairci dans ce sentiment de nuages sombres était l'Espoir...

mais avec tout ce qui m'avais quitter, tout ce en quoi je ne croyais plus, j'avais peur qu'un jour aussi l'espoir s'éteigne.

Le désespoir, j'ai l'impression de le ressentir s'installer peu a peu, les nuages se noircissent un peu comme mes idées...

Le plus lourd n'était pas la tristesse mais le masque que je portais, un masque souriant pour ne jamais faire ressentir son mal autour de sois.

Et grâce a ce masque on fait penser au gens que tout va bien.

C'est presque plus honteux d'être mal que de leur mentir.

Je ne me suis jamais senti aussi salit et abimé.

J'ai aimé quelqu'un qui ma fait croire qu'on recollerai les morceaux de mon cœur meurtri. Mais très vite mêler a des mensonges ses belles paroles sont devenu froide et vides de sens.

Cette personne qui semblais me réchauffé l'âme avait fini par me glacé le cœur.

J'avais l'appréhension qu'a force d'être roué de coup, mon cœur resterai de marbre et que mon esprit ce froisserai au point de me fermé au reste du monde.

Il ne me restais qu'une seule petite étincelle, si elle s'était éteinte, elle aurais éteinte avec elle tout espoir d'une vie meilleur.

Je pense avoir grandi trop tôt, j'aurais du gardé mon insouciance.

Un enfant ne doit pas voir ce que j'ai vu, un enfant ne doit pas réalisé lorsqu'il a à peine 8 ans que la vie ne sera pas facile.

J'ai souffert du manque d'un père pourtant présent. Il a toujours été là mais il n'a jamais su me montré son amour, si bien qu'aujourd'hui encore je doute sur son existence. Le manque d'un père ma toujours fait atrocement souffrir, l'ai-je déçu ? Sinon pourquoi ne me dit-il jamais qu'il tient a moi ?

J'avais honte de me plaindre, j'avais honte d'être triste, j'avais honte d'avoir mal, j'avais tout simplement honte d'être moi...

Quand j'ai eu 16 ans j'ai fait le point de ma vie j'en ai conclu quelle était minable et sans but je me suis mis alors a repenser a ma vie, chaque nuit.

Et au départ il m'arrivais de pleuré puis c'est devenu une habitude. Une fois les volet de ma chambre clos je me mettait sous la couette et je me tournais vers le mur pour pleurer, relâcher la mal en moi qui me rongeais.

Je me tournais vers le mur de façon a ce que mes parents, s'ils entraient, ne me trouve pas les yeux rempli de larme, je ne voulais pas leur faire de mal, je pensais que si je leur partageais mes larmes alors eux aussi aurais mal.

Je ne voulais pas leur faire de mal. Ils ont vécu les mêmes chose que moi mais avec un regard d'adulte.

Quand ma sœur a fait sa crise convulsive a l'âge de 2 ans, j'en avait 5.

Je ne me souviens plus en détails de tout ce qui s'est passé, mais je revois encore ma mère arrivée avec ma petite sœur dans les bras inconsciente et pourtant elle semblais être triste une larme a coulé de sa joue au sol et la le temps s'est arrêté. Pourquoi ma mère hurlais ? pourquoi mon père courais ?pourquoi ma sœur pleurais ? C'était comme si elle s'en voulais de nous faire peur, comme si elle était triste et désolé de nous infliger ca. J'ai pensé tout ça en si peut de temps. Mes parents courrais et moi je fixais cette petite goute d'eau sur le sol sans comprendre se qu'il se passais.

Beaucoup de chose de ma vie on fait de moi la personne que je suis aujourd'hui , mais qui pourrai vouloir d'un cœur en miettes ?

J'était sur le point de renoncé a la vie... 

Mais un soir de printemps, je fis la connaissance par hasard de ce jeune garçon, il ma plus dès le premier regard. Il m'a plus non pas comme n'importe qui peut me plaire, il m'as plus au plus profond de mon esprit et au bout de quelques minutes a peine nous avons compris l'un et l'autre que nous nous plaisions.

Nous avons alors poursuivi notre discussion et je ne sais pas comment ca a pu aller si vite, mais tout a été si simple avec lui, tout s'est fait si naturellement.

Il m'a complètement fait oublié cette peur d'aimé quelqu'un a nouveau. Il m'a mis alaise et bien qu'il soit timide de nature, il m'a beaucoup parlé et il s'en est lui-même étonné. Au bout de quelques jours des petits messages arborant des bisous ce sont installé. Mais nous ne voulions pas nous pressé, nous avons pris le temps de ce découvrir, ce connaître.

Je ne voulais pas laissé l'amour au hasard...

Il empli mon cœur de bonheur, c'est comme une mélodie magnifique on n'a pas envie qu'elle se termine.

Tout ce qu'il dit, tout ce qu'il fait est tellement beau à mes yeux.

Avant lui j'était dans un désert de larmes, aujourd'hui j'ai trouvé mon oasis de bonheur, mon petit paradis.

J'ai eu un peu peur au début que tout ne sois qu'un mirage, j'ai peur de m'endormir et me réveillé dans la réalité d'un monde ou il n'existerait pas. Je ne veux pas d'une réalité, je ne veux pas d'un monde, je ne veux pas d'une vie sans lui.

Le mot bonheur n'a jamais existé a mes yeux que depuis le jour ou je l'ai rencontré.

Sentiments d'un autre tempsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant