The house of the horror

Chapitre 1

Pdv Mia :

Aujourd'hui, c'est le grand jour, on emménage dans la maison que l'on a visité la dernière fois. Je suis si excité, toute la bande va cohabité dans cette maison qui pourrait être considérer comme une villa.

Je viens de finir ma valise, je vais enfin partir de chez mes parents. Après tout il était temps, c'est vraie j'ai 22 ans il faut que j'aille m'amuser,faire la fête dans cette maison qui sera celle de Paul, Laura mais aussi de Samuel, Damien, Tiffany et moi. C'est vraie qu'on est 6 dans la bande, c'est pourquoi trouvé une maison n'a pas été facile: ou c'était grand mais pas dans notre budget, ou c'était trop petit. Mais maintenant on la trouvé, notre petit bijoux, ou plutôt notre big bijoux.

Mais parents ont été anéantis quand je leurs est dit que la bande avait trouvé une maison parfaite pour elle, mais ils étaient quand même content pour moi. Bon ils ont un peu pleurer quand ils ont dû payer ma part, parce que la maison était un tout petit peu au dessus de notre budget. Mais parents on dû complété mais ils l'ont fait avec plaisir.

Je regarde une dernière fois ma chambre, cette chambre où j'ai vécu pour le moment toute ma vie. Ma chambre de petite fille que je regarde, quand je sortirais de celle-ci je deviendrait une femme, une vraie femme avec tous les avantages mais aussi les inconvénients. Je verse une petite larme, prend ma valise, passe la porte de ma chambre, ferme ma porte. La tension qui règne aujourd'hui est lourde, pesante. Mais c'est un jour de départ et de renouveau, c'est donc assez normal.

Je descend les escalier, pose ma valise en bas des marches. Et prend mes parents dans mes bras, ils m'attendaient. Je suis leurs seules enfants, donc c'est encore plus dur pour eux. Et je comprend. Ma mère pleure, mon père a les larmes aux yeux. Je détestent les mettre dans cet état. Pourtant ils devait bien ce douter que je ne resterait pas toujours chez eux.

Moi: Maman arrête de pleurer s'il te plait, tu savais que je partirait un moment ou un autre.

Maman: Je sais, je sais. Mais je ne peux pas m'en empêcher. En plus je voulait pas pleurer devant toi.

Moi: Soyer fort, comme vous l'avez toujours étés. Et puis ce n'est pas un adieux, vous viendrez quand vous voudrez à la maison. C est vraie que ce n'est pas à côté, mais vous viendrez.

Papa: Mia a raison ma chérie, on ira la voir tous les week-end.

Moi: Hahahaha, vous savez que je vous aime mais quand même pas.

Mon père et son humour, mais grâce à cette blague ma mère à retrouver le sourire et a arrêter de pleurer. Elle me sourit et la voire comme cela me réchauffe le cœur. Je les reprend dans mes bras pour un câlin collectif. Quand un moment je sent que quelqu'un c'est rajouter au câlin. Je me décale, et vois Paul mord de rire.

Paul: Désoler quand je vois des personnes qui font et câlin collectifs je m'incruste, je sais c'est une mauvaise habitude.

Moi: Bah de toute manière c'est pas comme si tu t'incrustait pas partout, petit souris.

Paul: Arrête de m'appeler comme ça tu sais que je suis pas une souris je suis même plus grand que toi.

Moi: HA oui c'est vraie. Bon aller grande souris, viens m'aider pour les cartons.

Paul: J'arrive

Je commence à monter les escalier, puis m'arrête quand je vois qu'il ne monte toujours pas. Je me retourne et vois Paul qui est pris en otage de câlin par ma mère. Je rigole puis va dans ma chambre pour prendre 2 petits cartons. Quand je redescend, Paul monte les marches de 4 en 4. Je pose les cartons dans le coffre de la voiture de Paul.

30 minutes après

Moi: Bon voila, il n'y a plus qu'a partir.

Maman: Gros bisous ma princesse, faite attention sur la route, je crois qu'il prévoit de la pluie cette nuit.

Paul: Vous en faite pas, je sais rouler, j'ai mon permis.

Papa: Tu vas rouler de nuit Paul?

Paul: Oui, on préfère rouler de nuit il y a personne sur les routes.

Papa: D'accord, faite attention, arrêter vous si besoin.

Moi: Ne vous en faite pas. Aller bisous

J'embrassais mes parents, Paul leurs fit un signe de la main. Puis on monta dans la voiture, Paul me regarda un instant. Puis alluma la voiture, le ronronnement de la voiture ce fit entendre. Paul mit son clignotent, nous voila nouvelle vie, on arrive.