Chapitre 3

11 0 0
                                    

- When you stuck in a moment. And your spark has been stolen. This is our time to own it, so own it. Baby we were born with fire and gold in our eyes.-

- Bea Miller, Fire and Gold.-

L'avion était désormais sur les pistes de l'Aéroport nationale John F. Kennedy de New York. J'avais dormi durant tout le voyage. J'avais fait un rêve bizarre sur un garçon aux yeux verts. J'étais tellement triste que je n'avais plus aucune force de me levée. Je n'acceptais pas encore le fait que nous avions tout quitté pour une ville inconnue.

Les portes étaient ouvertes depuis une dizaine de minutes. Les derniers passagers quittaient l'avion dans un calme hystérique. Ma mère était excité de revenir à New York. Elle avait fait ses études à l'Université de New York, pour elle s'était un retour aux sources. New York était aussi où mes parents s'étaient rencontrés, et où ils avaient commencés à se fréquentés. Ensuite, mes parents s'étaient mariés et déménager dans une petite ville dans le Nord des États-Unis loin de New York.

Je me levai et m'avançai dans l'allée principale. Ma mère me regarda avec un énorme sourire, mais ses yeux disaient autre chose. Ils exprimaient un sentiment de tristesse et de vérité. Je n'avais jamais vu ma mère comme cela. Je trouvais cela très étrange, et encore plus quand ses yeux changèrent de couleurs. D'un brun profond à une émeraude éclatant et ils sont revenus à la couleur original. Je pensai que c'était mon imagination qui me jouait des tours.

Nous descendîmes de l'avion pour aller chercher nos bagages. Le reste de nos affaires, nous les avions déjà envoyé il y a deux jours. Donc, ils étaient arrivés. Nous prîmes un taxi jusqu'à notre nouvelle maison. En fait, ce n'était pas une maison, mais un duplex.

Il y avait beaucoup de gens qui marchaient à l'extérieur. Il y avait des couples qui se tenaient la main et d'autres qui s'embrassaient. Ce geste d'affection me fît revenir à la réalité de ma vie; je n'avais plus de copain.  

Le taxi jaune se stationna devant une maison avec deux portes et deux adresse. Je savais, depuis 15 minutes, que nous ne nous trouvions pas dans le moins beau cartier de la ville. Le nouveau poste de mon père aurait du nous payer un luxueux appartement dans Manhattan, pas une vielle appartement dans Brooklyn.

Moi et ma mère sortirent du taxi pendant que mon père payait le chauffeur. Je récupérai ma valise dans le coffre du taxi.

Une vielle femme et une plus jeunes sortirent d'une des deux portes. La plus jeune sauta dans les bras de ma mère.

- Caroline! Comment vas-tu?,  lui demanda la jeune femme.

- Bien merci!, répondu ma mère. Vous m'avez tellement manquer vous deux. Ah! Lydia vient par ici, je vais te les présentées.

Pendant que ma mère faisait les présentations, un jeune garçon sortit de la maison en torse nu.  Je montai mon regard vers ses yeux tout en admirant le reste de son corps. Son regard était tellement perçant qu'on aurait dit qu'il était capable de voir mon âme. Je détournai le regard toute rouge de honte. La garçon descendit du perron et s'incrusta dans la conversation.

La plus vieille femme s'appelait Elyssa et la plus jeune était prénommée Kira, car son vrai nom était trop long. Kira était la mère du garçon qui n'arrêtait pas de me fixer.

-Je m'appelle Isaac Klaus Witchurts et toi?, me dit le jeune homme en tendant la main.

-Je m'appelle Lydia Mackenzie. Ravie de te rencontrer, répondis-je  en serrant la main d'Isaac.

-Moi de même, Lydia, répliqua t-il.

Quand les présentations firent terminer, Isaac pris ma valise et celle de ma mère, et les mit à l'intérieur.

Pourquoi ce garçon n'arrêtait-il pas de me fixer? C'était très étrange. Le plus étrange était que quand il me regardait je me sentais moi même et bien dans ma peau. J'ai l'impression que le vide que j'ai ressentis toute ma vie dans la poitrine ait disparu dès qu'Isaac avait commencé à me regarder.

Le nouvelle appartement était meubler avec des meubles de style ancien. L'appartement était fait d'une petite cuisine qui était rattaché à la cours arrière et à la salle à manger. Il y avait un petit salon très coquet. Au deuxième étage se trouvait les deux chambres à couchés et la petite salle de bain. Ma chambre était celle au bout du couloir. Elle était spacieuse, le plus que peu être une chambre d'appartement. Toutes mes boîtes y étaient déjà. Je commençai à les déballé. Je voulais, avant tout, cacher l'horrible papier peint qu'il y avait sur les murs.

___________________

J'avais emménager ma chambre toute l'après-midi. J'avais installé mes posters sur les murs, pour cacher le papier peint, et j'avais aussi rangé mon linge dans le placard. Mes livres étaient tous placer sur ma petite étagère. Il en restait dans les boîtes, mais j'allais les rangers dès que de nouvelle étagères allaient être achetées. La plus part de mes livres étaient des classiques, comme des livres de Jane Austen, ou des romans d'amours, comme Si je reste. J'aimais aussi les livres surnaturelles. Ma série préféré était The Mortal Instruments par Cassandra Clare.

Je me retournai pour prendre ce qu'il y avait sur mon lit, lorsque j'aperçut Isaac sur le pant de la porte qui m'observait. J'ôta alors mes écouteurs pour me rendre compte que je chantais à tue tête. Gênant.

- Sa fait longtemps que tu es là, lui demandai-je. J'espérais vraiment qu'il n'avait pas entendu toute la chanson.

- Depuis assez longtemps pour savoir que tu chantes faux, me répondit-il.

Un silence malaisé s'installa dans la pièce. J'étais vraiment gêné d'avoir chanter devant lui. Seule mes plus proches amis s'avaient combien mal je chantais.

- Ta mère ma demandé de venir te chercher pour le repas. Ma mère a préparé le repas pour tout le monde.... Donc..., dit Isaac.

Je me levai et le suivis dans l'escalier. J'observais ses tatouages à travers son t-shirt blanc. Les traces noires ressemblaient à des morceaux de rubans qui étaient emporté par le vent. C'était très joli, mais je n'osai pas lui demandé la signification.

Arrivée à l'extérieur, une odeur alléchante de hamburger envahi l'espace. Je m'assis en face d'Isaac. Il avait de joli cheveux bruns bouclés qui lui arrivait en dessous de la nuque. Je me servis une assiette. Tout le monde, sauf moi et Isaac parlaient. Ils avaient beaucoup de chose à ce raconter, mais moi j'étais concentré sur Isaac.

Il avait un étrange regard qui n'arrêtait pas de me fixer. On se fixa ainsi durant plusieurs minutes. Aucun de nous deux ne voulait détourné le regard.

Kira, la mère d'Isaac, lui demanda s'il pouvait me conduire à l'école demain matin. Il répondit par l'affirmatif sans cesser de me regardé.

On se fixa ainsi pendant au moins une heure. Je finis par me fatiguer et souhaiter bonne à tout le monde. Je montai les escaliers pour me rendre à ma chambre. Demain, j'allais rencontré de nouvelles personnes. Je l'espérais en tout cas. Je m'endormis en pensant que j'allais revoir le regard vert qui m'avait fixer toute la soirée.

____________

Votez et commentez!

-Sarah-

Le lien (En pause) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant