début et fin

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Bizarre qui a dit bizarre.

Le soleil brillait comme jamais, aucun nuage n'était en vue. Par cette aprèm midi, fut aussi celle de l'emménagement dans leur nouvelle maison de la famille Dumont. Ils l'avaient acheté aux enchères pour presque rien, et pourtant cela était une belle bâtisse du 17e siècle. La maison était située au sommet d'une colline qui surplombait une grande étendue de champs tout autour. Dès le début de l'après-midi, le camion de déménagement vint se garer dans l'allée de la maison. La petite famille était composée de Pierre le père de famille grand et massif avec des traits du visage strict, tout le contraire de sa femme Manon, toute menue quant à son visage elle avait des traits fins. Pour finir leur fille Aurore âgée d'à peine 12 ans. La journée fut très longue, sous le soleil de plomb de devoir décharger le camion et de commencer à emménager. Heureusement que des amis étaient venus les aider pour porter les meubles et tous les encombrants. La première nuit fut très douce, cause au déménagement toute la petite famille dormi paisiblement. Au petit matin, une fois tous trois réveillé ils prirent un petit déjeuner assez maigre, manquant de nourriture. Pierre devait aller faire les courses pour la semaine le matin même, laissant sa femme et sa fille toutes les deux. Ni une ni deux, après avoir fini son petit-déjeuner, Pierre fila prendre sa douche et s'habiller, descendit les escaliers et fit une escale pour faire un dernier bisou à sa femme et à se fila avant qu'il s'absente pour aller à la supérette à la ville voisine. Aurore et Manon le regardèrent prendre la voiture et descendre la colline jusqu'à ne plus l'apercevoir. Aurore partit à la salle de bain pour faire son brin de toilette pendant que sa mère rangea la cuisine. Après sa douche Aurore ne retourna pas dans sa chambre en premier, elle avait envie de découvrir plus la maison. C'est ainsi qu'elle descendit au rez-de-chaussée, explora en courant toutes les pièces de la maison, elle y

Découvrit des pièces remplies de toile d'araignée, mais vraiment que de toile d'araignée. Comme si une énorme était venu pour y tisser son filet de la mort. En grande aventurière elle continua d'arpenter les pièces de la maison certaine était fermer, c'est à ce moment qu'elle vit une pièce qui était tout autre que les autres aucune ressemblance, un endroit où tout était meublé, ou il comportait un lit, un bureau, une salle d'eau et même à son grand étonnement une petite cuisine. Aurore accouru auprès de sa mère lui demande si c'est elle savait qu'un petit studio se trouvait dans la maison, la mère parut très étonnée d'entendre le discours de sa fille. Aurore l'emmena voir comme elle n'avait pas l'air convaincue de ce que la petite disait. Arriver devant la porte Aurore l'ouvrit à la voler, mais ce qu'elle s'attendait pas et encore moins sa mère était que tous les meubles au lieu d'être encré au sol, était positionnée au plafond. Toutes deux ne savaient plus quoi penser de ce qu'elles voyaient, la mère referma la porte à toute vitesse et s'empressa de composer le numéro de portable de son mari pour le prévenir de ce qui se passait et de renter au plus vite. Pierre rentra à toute hâte, retrouva sa femme qui faisait les 100 pas avec leur fille. Pierre arriva à rassurer sa femme, après ça il alla voir par lui-même et seul, la pièce retourner. À peine la porte ouverte un cri s'en échappa en lui disant « par toi et ta famille car si après minuit de cette nuit vous étiez encore là vous n'en partirez plus jamais de votre vivant ». Pierre referma brutalement la porte ne sachant plus quoi penser si cela était vrai ou juste une hallucination. Il décida de ne pas en parler à sa femme et sa fille pour ne pas les inquiéter pour rien, cela ne pouvait pas être vrai, ça n'arrive que dans les films d'horreur ses histoires. Le reste de la journée se déroula normalement, la famille décida de passer la journée autour d'un jeu de société, malgré la bonne humeur qui régnait de tout trois, Pierre était encore à se tracasser par sa soi-disant hallucination. Après un bon repas en famille, un petit film a la télévision, tous les trois se dirigèrent vers le lit parental où Aurore voulut dormir avec ses parents. Les deux filles s'endormirent très vite quant à Pierre ne cessait de regarder l'heure pour voir si à minuit il allait réellement se passer quelque chose. À 1 minute de l'heure fatidique pierre commença à se mettre assis sur le lit. Le réveille afficha 00h00, Pierre écouta chassa du regard tous les coins de la chambre sans rien y distinguer. Il entendit du bruit au rez-de-chaussée, il décida d'aller voir, à peine et -il sortie de la chambre que la porte se verrouilla toute seule enfermant sa femme et sa fille. Pierre tapa aussi fort que possible à la porte de la chambre, il écouta à la porte mais aucun bruit ne s'y échappait. Il décida de casser la fenêtre par l'extérieur de la maison, il descendit au rez-de-chaussée dans sa hâte il trébucha, tomba à terre, se releva très vite et vit sur les murs des mots écrivent dans une langue inconnue. Ne sachant quoi faire il courra à perdre haleine vers la porte d'enter, essaie de l'ouvrit mais en vain aussi toutes les issu pour sortir de la maison étaient bloquées il décida d'aller chercher un pied-de-biche dans le débarras à côté de la cuisine, il s'en empara et remonta à l'étage pour ouvrit la porte de la chambre ou était prisonnière sa famille. Arriver à l'étage il commença à frapper de toute cette force sur la porte en vain, il y mit de plus en plus de hargne jusqu'à voir passer sous la porte un liquide noir. D'un coup il s'errata de frapper se dirigea vers l'interrupteur et alluma le couloir, il y vit sous la porte du sang. Pierre ne voulait pas y croire, il u un élan de rage telle qu'il rentra dans la porte épaule en première, la porte s'ouvrit dans un fracas monumental. Il y vit les deux corps inanimé de sa femme et sa fille. Le sang lui monta a la tête il ne savait plus quoi faire l'amour de sa vie était étendu devant lui ainsi que sa petite merveille. Insultant tout le monde et personne à la fois, il se rendit compte que ce n'était pas une hallucination qu'il aurait dû partir quand il en était encore temps. Maintenant il ne pouvait plus rien, il s'en voudrait pour toujours d'avoir causé autant de dommage. Il voulait en finir sur-le-champ, se jeter dans le vide du haut du premier étage. Juste avant qu'il se jeta dans le vide la voix reparla « je vous avais prévenu tu ne m'as pas écouté tu obtiens ta récompense ta femme et ta fille sont mortes à cause de toi car tu ne m'as pas écouté. Sur ce je te souhaite une bonne fin de nuit ». Pierre était encore plus mal, il n'hésita même pas, il monta sur la rampe et sauta dans le vide. La chute fut brève mais radicale, il retomba sur le coup laissant apparaitre une mare de sang rouge vif. Après ce drame, comme par magie les corps des victimes se déplaçaient tout seul jusqu'à une pièce ou juste un escalier descendant si trouvai. Les corps finirent laisser là parmi d'autres déjà présent depuis des années. Au petit matin, la maison était comme à son habitude calme propre, il n'avait plus de trace de sang. Personne n'aurait plus imaginé qu'un crime venait de se produire. »

                                                                                                       fin

bizarre qui a dit bizarre Où les histoires vivent. Découvrez maintenant