Regret Tome II

Le cauchemar terminer

Je suis dans la chambre d'ami de chez Ashton, Harry dort et moi je ne dors pas et bien la raison est simple j'ai peur pour mon Daddy. Je fais des cauchemars sur la mort d'Harry, je ne veux pas qu'il meurt.
Je l'aime trop que cela me fait peur, on va un peu trop vite sur notre histoire mais j'ai besoin de combler le vide que l'on a provoqué durant les deux mois ou j'ai du me cacher. Je pose mon regard sur Harry puis je vois les yeux bleu d'Harry bien ouvert et qui me regarde.
-Princesse qu'est-ce qu'il y a? Demande Harry.
-J'ai peur, en lui montrant le cahier après avoir écris ses trois mots.
-Tu ne crains rien alors tu peux dormir sur tes deux oreilles, dit-il en fesant glisser ses doigts contre le bas de mon dos.
-J'ai pas peur pour moi mais pour toi, écrivis-je sur le cahier.
-Je comprends ma Princesse, ne t'inquiète pas j'ai du renfort par Aaliana et une équipe avec qui j'ai travaillé à New York alors ne t'inquiète pas, reprit-il.
Je me blottis contre lui puis j'essaye de dormir, il continue de me caresser jusqu'à que je ne ressente plus ses caresses comme je m'endors. Je sens son regard sur moi.

Quand je me réveille, je me sens écrasé par quelqu'un et je vous avoue que c'est la seule chose que je ne regrette pas d'être parti c'était pour ne pas être écrasé par Harry mais bon au moins je sais qu'il est encore là et pas parti je ne sais où.
J'arrive à le pousser au bout d'une bonne dizaine de minutes pour me diriger dans la salle de bain pour me décrasser de la veille car hier j'ai eu la flemme. Je pose mes affaires sur le comptoir, je fais couler l'eau pour avoir l'eau à la bonne température.
Je glisse sous l'eau, je me mouille bien les cheveux puis attrape le gel douche pour m'en mettre dans ma main puis bien frotter sur mon corps, j'entends la porte s'ouvrir et se refermer je continue de me savonner quand je sens un corps se plaquer contre le mien rien qu'au toucher de sa peau je sais que c'est Daddy, il embrasse mon cou, puis remonte jusqu'à ma mâchoire et embrasse mes lèvres qui ne demandaient que ça en quelque sorte.
-Tu es tellement belle ma Princesse, reprit-il en malaxant mes fesses.
-Humm.
-Tu es tellement parfait comment j'ai pu résister durant ses deux mois de ne pas te courir après, déclare-t-il en me soulevant d'un coup et j'en roule mes jambes autours de son buste.
Je fais un micro gémissement avant qu'Harry m'embrasse sauvagement nos langues jouent un peu avant qu'il ne morde ma lèvre. Je me cambre de plaisir sous ses coups de reins involontaires.
Nos membres se touchent et cela m'excite encore plus que ce que j'ai fait il y a quelque jours dans le club de mon frère, mon regard se déplace sur son cou ou je lui laisse quelques marques que l'on ne verra pas sous son costume de héro.
Ses mains malaxent toujours mes fesses pour m'exciter encore plus comme si je ne le suis pas assez, je vous assure que je suis bien ouvert pour son membre énorme pour moi. Il attrape le lubrifiant qu'il a du amener de la chambre puis astique rapidement son sexe avant de me pénétrer doucement en moi, il est toujours doux avec moi et c'est ce que j'aime chez lui.
Au bout d'une dizaine de minute il accélère les va et viens qui me font de plus en plus de plaisir et je peux dire que c'est que du bonheur, au fur à mesure mon antre se serre pour essayer de produire un effet de serrage autour de son membre.
-Humm tu es tellement serré mon cœur, reprit-il en posant ses lèvres sur les miennes.
C'est tellement bon que je crois rêver ce bien être que me procure Daddy, je pose mon regard dans le sien après avoir repris un peu d'air car je n'ai pas envie de mourir par un manque d'air cela serait la mort la plus stupide après mourir la tête dans le cul d'un éléphant et oui un homme est mort comme ça comme je le sais les journaux avec la mort insolite du jour.
Quand je reprends mes esprits, je me rends compte que j'ai jouis sur le torse de Daddy et lui en moi. On se relave de nouveau puis j'attrape une serviette puis m'essuie rapidement avant de retourner dans la chambre pour m'habiller.
Daddy enfile aussi un vêtement puis par de la chambre, je vais le rejoindre quelques secondes plus tard mais il n'est déjà plus dans la maison comment je le sais c'est simple il m'a laissé un petit mot sur le comptoir, je regarde l'heure et l'horloge m'indique qu'il est six heures du matin.
J'attrape le petit mot puis je remonte dans la chambre d'ami, j'ai envie de ne rien faire à part peut-être dessiner ou écrire.