Un Ennemi Dangereux: Akashi

Chapitre 2: Ennemis

~Ding Dong Dong~

Woah ! C'est la même sonnerie que dans les mangas.

Mais cela veut dire que c'est l'heure de BOUFFER cool.

« Je m'excuse encore de cette impolitesse, Bon Hana ! J'en ai marre de me faire passer pour toi alors apprends à parler !

-Désolé conscience, je ferais gaff-- Attention !

-D'accord, il y a intérêt... »

-Rosier-chan ! Je veux manger avec toi.

Presque toute la classe me propose cela, les rumeurs sont vraies les français sont admirés ici.

-Non désolé, je voudrais manger seule.

Avant qu'ils m'interpellent à nouveau je cours vers le toit : c'est un de mes rêves.

« Oui, j'en ai plein ! Dis-je avec enthousiasme

-Oh que oui ! Heureusement que vous n'êtes pas dans sa tête.Réplique ma conscience

-Chuuuut ! On va croire que je suis folle. »

Je me dirige vers le clocher puis l'escalade (pour vous rassurer c'est un clocher en forme de parallélépipède rectangle, au pire regardez les clochers des écoles au japon).

-Un suicide !

Le gars qui avait crié ces mots avait les cheveux jaunes, oui le jaune de l'arc en ciel, se laisse apparaitre. Merde (langage!) quoi j'ai le droit d'escalader trois mètres(je suis bien d'accord) !

Je redescends du coup, en sautant puis je prends le blond en l'étranglant par le coude. Il se met à paniquer mais je le calme en ordonnant :

-J'arrête si tu ne panique pas, ok !

-ooooo.......kk

Il reprend son souffle puis s'exclame :

-Hana-chi, si ça ne va pas il dire...blablabla !

C'est toi le problème, pff soulant (je t'autorise) je commence à partir : direction les escaliers puis :

-Pourquoi je suis toujours la victime !

Depuis quand on est passé à lui ?

-Bon ! Je ne suis pas ton psychologue alors... LA FERME ! (je suis toujours d'accord avec toi)

-Oui (T-T) ah oui je m'appelle Kise Ryota.

Mes oreilles bougent en sa direction, mes yeux sont illuminés.

-Ryota ! Ryota ! Comme le Ryota Miagi !

N.D.A.(Note de l'auteur) : Réellement Ryota Miagi appartient à l'univers de Slam Dunk mais j'ai envie de l'ajouter en tant que grand basketteur du Japon qui est âgé de dix-huit ans. Quoi j'ai le droit c'est moi histoire (^W^).

-Oui, alors tu m'aimes enfin !

-Non, tu salis le nom. Bye.

Il se met à chialer (Je laisse passer mais ne prends pas ça pour une habitude alors parle bien !) à pleurer, puis des filles arrivent pour des autographes et le câliner, je rêve des fans (je suis d'accord, c'est absurde).

Je m'en fiche, je remonte sur le clocher pour enfin entamer mon Bento, pas trop Bento : c'est justes des sandwichs jambon-beurre sur pain de mie car la baguette au Japon est infecte.

Une fois mon repas terminé je descends jusqu'au rez-de-chaussée pour commencer une visite personnelle du collège. Je vais donc à l'entrée extérieure, car je veux visiter la « cour ». Mais avant que je ne débute, cheveux rouges arrive avec une paire de ciseaux.

Il essaye de m'atteindre sans succès, j'avais esquivé. Mon sourire aussitôt se dessine lors de son action.

Je sors mon Opinel n°6 (France for ever). Puis un combat Opinel-Ciseaux débute.

Trop fun! Mine de rien ! Bon au lieu d'exprimer ma joie il faut savoir la raison de ce geste.

-Aka(rouge en japonais) ! Pourquoi tu veux me blesser !?

-Fleur(Hana peut signifier « fleur » en japonais) ! Tes épines se sont rapprochés trop près de moi !

-ooookaay... Je déteste les jeux de mots, mais tu parles français ! Si tu parles d'épines(rappel : mon nom de famille est Rosier).

-Évidemment, un Seijuro doit maîtriser tout à la perfection !

-ahh ! Monsieur est jaloux de mes performances en math ! C'est trop choux...chuut ! J'entends des bruits de pas.

J'arrête la guerre en rangeant le couteau mais aka continue.

-Tu veux finir au poste car vu le bruit des pas, je dirais que c'est une femme d'une quarantaine d'années. Elle va appeler direct !

-Ce n'est pas une blague j'espère...

Il range les ciseaux au moment où une prof s'affiche. On s'incline (respect des aînées au Japon) et la prof répond :

-Il est presque l'heure d'aller en cours. Vous êtes de la 3-7 c'est bien ça ?

-oui

-Donc vous avez sport avec moi, allez vous changer et allez me rejoindre.

La prof s'éloigne. Mais on a sport ! Je n'ai pas mes affaires ! Je fais une grimace.