Chapitre 2

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( Désolé pour l'attente, j'ai écrit tout le livre ce qui m'as pris un certains temps...)

Je déambule dans les rues de New-York, riant à un moment et me lamentant. J'ai compris, pas besoins d'être un génie pour comprendre que je suis morte. Moi qui pensait aller au paradis après la mort, quelle blague! Je suis condamnée à trainée dans les rues pour le restant de mes jours, enfin, de ma mort.
J'arrive dans mon quartier, un quartier très riche et moderne contenant seulement des villa et des palaces plus extraordinaire les uns après les autres. Je marchais la tête hautes, les yeux bouffis et les vêtement délabrés puis m'arrête en face de chez moi. Une immense maison faisant penser à la maison blanche. Je rentre en traversant la porte que je n'arrivais pas à ouvrir puis ce que ma main passait automatiquement à travers la porte. L'intérieur est aussi effrayant que l'extérieur: la seul lampe éclairant l'entrée et renverser clignotant quelle que fois comme signe que l'ampoule n'étais plus bonne, les meubles étais renversés sur le sols comme si un ouragan venait de passer par la. Je marchais furtivement jusqu'au salon, écrasant les morceaux des assiettes en porcelaine préférée de maman. Elle étais là, assise sur le fauteuil du salon la tête tournée vers moi. Me voyait telle? L'idée que la mère puisse voir des morts me donnaient des frissons. Je levais lentement ma main droite et fis quelque geste de la main pour voir si elle réagissait. Rien. Je m'approchais lentement pour voir si sa tête me suivait du regard. Rien. Je me tenais en face d'elle et constata que ce n'étais pas loi quelle regardais, mais la photos de famille qui se trouvait sur le mur derrière moi. J'imagine que elle avait du apprendre ma mort par téléphone puis ce que ce dernier étais toujours dans sa main. Sa se voyait quelle avait pleurée l'orque l'on voyait l'état de son mascara dis waterproof.
"Prends soins de toi" dis je à voix basse en l'embrassant sur la joue. Elle posa sa main là ou je l'ai embrassé colle si elle venait de sentir ce bisous. Je souris et quitta la maison. Je traverse toute la rue en silence, je voit un tunnel tout au fond et je sais qu'il y a une forêt derrière ou je pourrais me réfugier. J'arrive enfin jusqu'au tunnel, je rentre évidement à l'intérieur et y croise un garçon de mon âge j'imagine qui fume une clope.

"Pfft, souflais en passant à côté de lui. Les garçons..."

Il me regarda avec des gros yeux et lâcha sa clope.
"Att-attends, balbutia t'il en reprenant un peu de son calme. Tu me vois?!
-Oui et... Attends, TU M'AS ENTENDU?!"

Je ne le quitte pas du regard, lui non plus d'ailleurs. Il passe sa main devant mes yeux que je retire violemment. Attends... JE PEUX LE TOUCHER?!
Je ne comprends plus rien, je recule de quelque pas en répétant "c'est quoi ce bordel en boucle".

" Toi, dit il amusé. Tu es morte.
- et toi aussi puis ce que tu peux le voir, je réponds apeurée. Mais qu'est ce qu'il se passe? Je ne comprends rien et... Et je suis perdue et-
- Et tu es une choisie. Mais vu comme tu es tu ne le sais pas encore"

What?! De quoi parle t-il? Choisie de quoi? Je ne sais pas. Le jeune garçon me fais signe de le suivre en direction de la forêt. Naïve ou Inconsciente, je ne sais pas, mais je le suis comme même. Je ne me sent pas courir alors que ce garçon pourrais le rattraper en moins de 5 secondes à peine. Nous nous enfonçons jusqu'à arriver en plein milieu de nulle part. D'après la position de la lune, je dirais qu'il est minuit. Le garçon s'arrête et retourne vers moi. Il se rapproche vers moi et se s'arrête à même pas 2 millimètre de moi. J'ai soudainement l'impression d'être en danger, d'avoir fais le mauvais choix, que je n'aurais jamais du le suivre. Mais qu'ai-je à perdre? La vie? Quelle blague! Qu'il m'emmène ou il veut, je m'en fiche à présent.

"Accroche toi, dit il en me serrant dans ses bras."

Je n'ai même pas le temps de réagir que nous nous retrouvons propulsés tout les deux dans les air. Je ferme les yeux, trop apeurés par ce qu'il se passe. Mais c'est en les ouvrant que je comprends mieux la chose: des ailes. Deux grande ailes noirs sont dans le dos du garçon qui me tient. Des ailes qui doivent faire deux fois ma tailles mais qui on peut le dire, sont magnifique. Je plonge mon regard dans celui de ce garçon. Verrouillant mes yeux bleu à ces gris profond.
il prends finalement la parole pour prononcer ces quelques mots qui tourne en boucle dans ma tête

" C'est maintenant que ta vie
commence."

Coucou les gens! Je tenais d'abord à m'excuser parce que je ne vous avais même pas prévenue que je n'écrirait plus pour écrire la suite de mon histoire. Mais voyez le côté positif, vous aurez plus souvent de post. J'espère que ce chapitre vous auras plu et à bientôt pour la suite.

Ange ou Démon?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant