Bien le bonjour jeune amateur de yaoï.
En ce jour sacré où le grand, le magnifique, le génialissime Superbrioche prend 25 ans, j'ai décidé de commencé ce nouveau recueil.
J'espère pouvoir tenir le rythme et satisfaire vos envie.
Les segments n'auron...
Et voilà la suite du jour 28, demandée par SorenGirl , CaLeoValdez , Nymouria , DJmama74190 , Lauraaaa004
Pour la première fois, Thomas c'était fait recalé par quelqu'un. Il se sentait étrange, une pointe d'amertume lui perçait le cœur et il avait l'impression que son monde c'était écroulé sous ces jambes.Il rentra tristement chez lui et, seul comme à son habitude, il se fit couler un bain. L'eau brûlante piqua ses plaies béantes mais il entra sans difficultés dans la baignoire. Perdu dans ces pensées,il commença à réfléchir à toutes ces anciennes conquêtes, qu'il avait du blesser par son comportement immature et ses relations sans lendemains.
-C'est sûrement la vengeance du Roi des Démons... Soupira-t-il avant d'enfoncer entièrement son corps sous l'eau, où larmes et mousse se mélangeraient. ( celui qui a la référence gagne le droit de choisir la suite d'un autre de son choix )
Un sentiment de dégoût envahit le jeune homme, il se sentait sale et seul, rejeté par la seule personne dont il n'avait jamais été amoureux. Il passa sa soirée à manger les restes de la veille.Péniblement, le corps lourd de remords, il se coucha dans son lit qui avait accueilli tant de filles en manque d'affection et transi d'amour pour lui. Serrant son oreiller dans ses bras, il trouva enfin le sommeil. Pourtant sa nuit fut agitée, perturbé par des cauchemars des gens qu'il avait trompé venant le hanté, le souvenir de ce rejet.
-Si je pouvais recommencer tout à zéro, ce serait merveilleux, mon dieu, qu'ai-je fait, je suis un monstre. Je n'aurai jamais assez de ma vie entière pour me faire pardonner de ce que j'ai fait à tous ces gens.
En disant cela, il se mit en boule, la tête entre ces genoux et pleurale restant de la nuit, impuissant et désemparé. Le matin vint enfin le sortir des ténèbres qui hantaient son cœur. Avec peine, il cacha ses cernes et ces yeux rouges vifs. Comme d'habitude, les filles se retournaient sur son passage et gloussaient en rougissant et les étudiants parlaient, il les entendaient mais aujourd'hui il n'en avait rien à faire, il traça son chemin et s'isola. Il n'écoutait pas en cours et s'éloignait de ces amis les plus proches. Il choisissait ses chemins pour l'éviter, ne sachant pas comment il allait réagir devant lui. Petit à petit, il quitta même les bancs de l'école, trop déprimé pour continuer à s'intéresser un minimum aux leçons scolaires. Son père, un riche homme d'affaire toujours en voyage, et sa mère,infirmière de nuit dans un hôpital, était divorcé depuis des années. Le jeune homme vivait chez son géniteur et était bien souvent seul. De plus, il n'avait pas de frères et sœurs avec qui s'amuser, c'était un jeune solitaire à la beauté inégalé. Plu rien ne lui faisait envie, mais quelque chose au fond de son cœur le garda en vie, il ne savait pas pourquoi mais il garda espoir au fond de lui. Il élabora une stratégie ingénieuse. Le lundi, soit quinze jours sans être revenus dans son institution, il fit une entrée fracassante être marquée. Il avait un seul objectif à présent, conquérir ce bel étudiant. Il prit contact avec ses fan qui semblaient avoir l'âge de son amour caché.
-Merci beaucoup, c'est très gentil quand même. Lança Thomas en souriant, ce qui fit rougir l'étudiante.
Il partit, un peu dépité de n'avoir rien obtenu quand une main se posa sur son épaule. Une fille, d'un mètre soixante environ, assez maigre, de pétillants yeux verts et des cheveux blonds attaché en chignon lui tendit un papier. Curieux, le roux l'ouvrit et découvrit simplement : « Adrien 07******** ». Il voulut remercier la jeune femme mais elle avait disparu et la masse étudiante ne facilitait pas sa recherche visuelle. L'image du visage de cet homme qui lui avait volé son cœur revint avec force dans son esprit et il sourit de plus belle, toute la journée. Ses cours de langues, de science et de sport lui parurent une éternité mais en revenant chez lui, il composa le numéro et chercha à écrire un message correct, pas provocateur ni trop prétentieux. Finalement,au bout d'une demi-heure, il réussit à écrire un texto qui lui semblait correct.
«Salut Adrien c'est Thomas, j'aimerai qu'une bonne fois pour toute tu me dises tes sentiments réels. Si tu ne m'aimes pas, dégoûte-moi pour de bon, je ne peux plu supporter d'être ainsi. »
La réponse ne tarda pas à arriver.
«Je ne peux pas te dégoûter, je n'y arriverai pas ;) »
Il ne comprit pas le sens de cette réponse mais avant de s'interroger plus, il reçut un deuxième message.
«Donne-moi ton adresse et je t'expliquerai tout, je sais ce que tu penses, tues perdu face à mon attitude d'il y a quelque temps et mes propos actuels.:p »
Surpris,le jeune s'exécuta et une trentaine de minutes plus tard, la sonnette retentit.
-Adrien,c'est toi ? Souffla-t-il, soucieux.
-Qui veux-tu que se soit ? Ria la voix grave derrière la porte en bois.
Alors,reconnaissant la voix chaleureuse du beau brun, il ouvrit et céda à ses pulsions pour le prendre dans ses bras. L'aîné fut surpris mais il répondit à l'étreinte.
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-Ne restons pas sur le palier, il faut froid, tu ne trouve pas ?Proposa-t-il, en caressant les cheveux de son cadet. L'appartement était assez petit, composé d'un séjour relié à la cuisine à l'américaine, de deux chambres, d'une petite salle d'eau et d'un bureau. Thomas se sentait bien, collé ainsi à Adrien mais quelque chose le gênait.
-Excuse-moi mais tu ne m'as toujours pas expliqué clairement les différents événements de ces derniers temps, car je suis, je dois bien l'avouer, un peu perdu.
-C'est assez simple. Je connaissais ta réputation de coureurs de jupons et de dragueur. Je savais aussi que beaucoup de filles tombaient sous ton charme. J'ai compris, lorsque tu as fait tomber une amie amoureuse que tu n'avais aucun scrupule alors je voulais te faire patienter, pour que tu vois le mal que tu as causé, c'est tout. Mais quand j'ai vu les proportions dramatiques que cela prenait pour toi,j'ai envoyé ma petite sœur te donner mon numéro et me voilà, dans tes bras.
Les deux jeunes gens passèrent une soirée délicieuse et Adrien avait appris à son petit ami à respecter les gens et il s'excusa auprès de chacune des demoiselles qu'il avait blessé.
