The third

Paris, ans 3219

/Prologue : "Seul dans mon ma tour, je me mis a penser. Penser a la vie qui m'attendais et aux responsabilité que j'allais prendre de l'autre coté...
Depuis mon plus jeune âge, je songe et imagine le futur.Je vois les choses différemment   des gens. Eux,  ne savent pas ce que c'est d'être seul pendant 1000 ans , enfermé dans un   donjon inconnu de tous. 1000 ans a pourir comme une grosse merde dans terre. c'est 1000 ans sont passés, je suis de retour. Le jour  de la vengeance a sonné....  " /                   

A bord de ma monture, je parcourais les routes de paris, encienne capitale de la France. La plupart des bâtiments tombés en ruines, dégradés par les vautours qui depuis plus de 21 ans règne sur cette ville hantée .En rejoignant un endroit pour attacher ma jument, j'aperçu  dans une ruelle un homme pendu par un cordage de voile de bateau. J'arrêtais mon cheval et sortit de ma poche le revolver offert par ma mère pour mes 232 ans. Même si je ne craignais rien car cette homme était mort, je ressentait une aura plutôt désagréable.

L'homme pendu était la copie conforme du ministre. il se balancait de gauche a droite, les yeus ouverts louchants vers le sol la ou flotté dans une flaque de sang un bout de papier bruler. Je foullais la victime avec l'espérance de trouver de l'argent qui me permettrais de subsister le plus longtemps dans se monde de fou. Je trouvais au fond de la poche de son blouson en cuir un billet de 10 Seri et une photo de sa femme. Lui n'étant plus vivant, avait fait tomber la France dans un pays encore moins riche que l'Inde. Il avait détruit des villages africains et bombarda des métropole dans le but d'éradiquer les Lalou (appeler aujourd'hui SDF). Je m'approchais de lui un peu intimider. Il a toujours étais pour moi un ennemi et pour bien d'autre. En lui touchant la main, une brise de vent me passa dans le cou et son poing se referma sur mon index, il n'était pas mort...