C'est exister à peine.
C'est se laisser mourir...
C'est un long chemin de croix sur ma peau frêle et délicate.
C'est hurler à chaque coup de lame...
Avant toi c'était quoi l'amour familial.
Avant c'était magique .
Magnifique...
Puis tout bascule; tu me force.
Je rigole en ayant peur je ris nerveusement.
Puis tu me dis que ce nest pas une blague...
Avant ça tétais mon idole...
Maintenant tu m'es le monstre de la nuit sombre et glaciale.
Avant toi trainer des pieds c'est exister heureuse.
Un long chemin sur cette peau...
Jme souviens comme c'est dégueulasse de ta part de me forcer.
Jme souviens des larmes chaque soir sans avoir le courage d'en parler...
Tant envie de partir.
D'hurler dans un dernier souffle de vie.
