CHAPITRE 2:

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Ils se rhabillaient tous les deux puis Arthur sortit de la pièce en lui demandant de ramener un plateau sans le faire tomber cette fois-ci.

Merlin prépara un plateau comme lui avait demandé son souverain quand tout un coup, apparut une colonie d'araignées. Merlin monta sur son bureau mais les araignées pouvaient grimper. Il tapa des pieds pour les faire fuir mais cela ne marcha pas, cela avait invoqué sa magie sans le vouloir et ils disparurent d'un coup.

Il était soulagé et continua de préparer le plateau tout en reprenant ses esprits mais il n'eût pas le temps d'y poser un fruit car il entendu son amant l'appeler. Il courut le plus vite qu'il put.

Quand Merlin entra dans sa chambre, Arthur se débattait contre les araignées qui semblaient être trois fois plus nombreux. Puis se fut au tour des cuisiniers d'être envahit, puis des chambres des chevaliers, puis des écuries,... . Tout le château fut envahit.

Arthur criait:

" Merlin sert toi de ta magie, tu es le seul à pouvoir nous aider. "

Mais Merlin restait figer sur place. Il savait qu'il devait garder son sang-froid mais cela semblait être difficile pour lui.

Puis il vit Arthur allonger parterre, son corps était envahie par les araignées.

Merlin ne pouvait plus rester là à regarder ce spectacle plus longtemps, il devait aider son roi et les employés du château.

Il tendit la main, récita une formule que seul lui connaissait. Mais les araignées s'étaient multipliées, il s'était trompé dans la formule. Il recommença et cette fois-ci avec la bonne formule.

Tout les employés du château semblaient avoir oublier ce qui venait de se produire et reprirent leurs activités. Mais pas Arthur, lui se levait et regardait Merlin. Celui-ci, se retourna pour ne pas affronter les paroles de son souverain et commença à sortir de la pièce mais Arthur le rattrapa et l'embrassa contre la porte.

Arthur se baissa petit à petit en suçant la peau si douce de son amant jusqu'à ce que sa tête arrive au niveau de son sexe. Il baissa le braie de Merlin et avala entièrement son sexe. Cela fut gémir Merlin. Le roi continua son action et le serviteur gémissait de plus en plus fort jusqu'à l'extase. Le souverain reçu le liquide dans sa bouche et avala tout d'un coup. C'était un des goûts qu'il préférait.

Merlin voulu lui rendre l'appareil mais Arthur refusa car il en avait déjà bien trop fait pour aujourd'hui.




Merlin : L'arachnophobeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant