7 days and nights (Summer Sex Réécriture)

Chapitre 11: Couverture de magasine et crème glacée.

La ville bourgeoise où siégeait Morton School était normalement tranquille et paisible. Les rumeurs étaient diffusées seulement en faible murmure alors que la journée passait, n'attirant jamais la pleine attention souhaitée des médias. Même si un dangereux ragots, juteux circulait, il n'était jamais « pleinement public », bien que beaucoup des habitants obtiennent l'information d'un réseau complexe de communication pour les partages des secrets. Les médias étaient proche essayant d'attraper la dernière rumeur pour pouvoir l'exposer.
Quand un homme d'age moyen, pourvu d'une calvitie naissante reçut soudainement un appel masqué à propos d'un scandale sexuel exposé il y a quelques années dans un autre état, il se précipita sur son ordinateur blanc. Tapant « professeur étudiant sexe Trumper » dans Google, de ses doigts tels des saucisses, il maudit la lenteur d'Internet alors qu'il attendait, anxieux, que la plage ait fini de charger.

« Oh mon dieu » murmura-t-il.

Un homme aux yeux gris regardait derrière lui, caché derrière des lunettes à verres fumés, souriant légèrement. Le professeur avait dans les vingt ans, mince et grand avec de fins cheveux bruns et une légère barbe qui semblait avoir été rasée avant la photo. Il avait une veste en cuir noir, avec une chemise blanche froissée et bien boutonnée, liée avec une cravate rouge. Pour terminer, il portait un pantalon noir serré et une paire de converse sombre.
Si ce n'était pas pour le tableau qu'il portait avec des chiffres dessus l'homme faisait comme s'il était dans un photomaton plutôt que des photos dans un commissariat.
Une autre image montrait un Bill bien plus jeune, avec des cheveux courts et des yeux fardés de noir, qui enveloppait ses genoux alors qu'une douzaine de boites de comprimés étaient éparpillées autour de lui. Il semblait être en transe, regardant toujours la caméra alors qu'une femme, la thérapeute supposée, essayait désespérément de lui parler.
L'homme regarda la galerie de photos, ses yeux s'agrandissant alors que les images devenaient plus explicites. Une des deux les montrant, marchant, main dans la main. Un zoom d'image de ce qui semblait être un message, narrant plusieurs situations sexuelles. Une prise de vue de la caméra de sécurité de l'école.
Puis, d'un autre sujet contenant le mot Trumper, un scan de bout de papier apparut à l'écran. Il provenait d'un nom d'utilisateur privé, sur un site d'échange de photos. Un scan de ce qui semblait être un contrat. Si l'homme pouvait deviner l'écriture, il parlait d'admettre un garçon à Morton High en échange d'abandon de poursuite pour un accident.

« Matthew Clément ? Le principal Clément ! » dit l'homme tout haut, lisant la signature, choqué.

Imprimant rapidement les photos les plus importantes, il courut jusqu'à l'imprimante et sortit du bureau, essayant de trouver son supérieur.

« Boss ! On a répondu à nos prières ! On a des nouvelles ! »
　
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Alors que Bill ouvrait les doubles portes de l'école, il réalisa que tout le monde le regardait dans le silence, attendant. Il ajusta son sac à dos maladroitement. Personne ne dit un mot alors que le doux tapotement des chaussures contre le sol s'ébruitait à travers le préau. Ils regardaient alors que Bill observait de part et d'autre, un peu curieux.

« ... Quoi ? » demanda-t-il irrité.

Comme une explosion, les discussions et bruits atteignirent le plafond alors que les adolescents dans tous les coins se ruaient sur le garçon, se saisissant de son tee-shirt alors que certains le bombardaient de questions et de constats le secouant de tous les cotés. Bill grimaça en sentant une lame ou quelque chose du genre riper contre son épaule et la sensation de quelque chose de liquide contre ses jambes alors que
quelqu'un le frappait.

« Bill ! T'as vraiment sauté un prof ? Pourquoi ? Tu voulais une bonne note c'est ca ? »

« Hey ! A quel point t'es pauvre ? T'es le pauvre commun ou le genre de pauvre qui doit manger des rats et s'essuyer les fesses avec une feuille ? Est-ce que tu t'essuies le cul avec une feuille ? »