chapitre 4

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Anna: Lucie ? je suis désolée si je t'ai fait du mal hier à propos de...

Moi: Adrien et Jeremy...

Anna: ouais...

Moi: t'inquiètes ca va.

Anna: On se voit ce soir .

Moi: Oui , bisou Anna

Je me dirige vers ma classe en réfléchissant, pourquoi me suis je enerver hier ? apres tous j'en ai rien a faire de ces mecs.

12:30 je m'aère dans la cour en attendant la reprises des cours. je m'assoie sur un banc et observe le groupe de jeunes ou est Anna, elle rigole, elle a l'air tellement heureuse avec les autres...

je me dirige vers les toilette pour me rafraichir un peu avant la sonnerie. je me regarde dans le miroir et arrange un peu mes long cheveux brun qui tombe en grosse boucle dans mon dos.

Mes yeux, mes cheveux, mon visage, rien chez moi n'est spéciale, je suis totalement dans la norme le genre de fille que l'on croise sans remarquer. je soupire et remarque que je n'entend plus aucun bruit dans les couloirs, j'ouvre la porte, jette un coup d'œil et constate qu'il n'y a plus personne, j'ai raté la sonnerie je vais être en retard, j'attrape mon sac et sors des toilettes.

- Lucie !

je me retourne pour recevoir immédiatement le contenue de trois seau d'eau, je reste pétrifiée. Une vingtaine de personne éclatent de rire à l'unissons.

Quand je me rend compte de se qui m'arrive tous le monde est déjà en train de s'éparpiller à cause de l'arriver d'un surveillant. Est ce l'eau ou suis je en train de pleurer ? Pourquoi moi ? Qu'est ce que je leurs est fait ? Pourquoi je n'ai pas d'amies ? Pourquoi je suis aussi nul ?

toutes ces questions m'assaillent d'un coup et je dois m'adosser au mur pour ne pas m'effondrer. Je ne comprend rien. Je me mes a courir dans les couloirs vers la sorties, il faut que je sorte, maintenant !

je me précipite vers la porte les larmes ruisselantes sur mon visage.

Je bouscule Adrien en sortant, qu'est ce qu'il fait la ? est ce qu'il a tous vue ? nos regards se croisent, il s'apprêtent à dire quelque chose mais je ne lui en laisse pas le temps, Je m'écarte et continue ma course dehors je ne veux pas qu'il ai pitié de moi et je ne veux plus parler à personne. Arriver dans le parc, je m'affale sur un banc, reprend mon souffle et sèche mes larmes. je suis la, seule sur un banc, trempée et en plus je sèche un cours.

Soudainement je me rend compte à quel point je suis seule pas seulement dans ce parc mais dans la vie, et cette solitude me pèse, elle m'écrase de tous sont poids.







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