chapitre 7: Marie agit.

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après mon essai raté d'avoir voulu en parler à mon père, je suis retournée au collège, encore plus démoralisée qu'avant. En arrivant en français, je ne vis pas Marie. Elle ne ce manifesta pas durant la toute la journée. Des rumeurs à son sujet commençaient déjà circuler. Certain rigolaient, d'autre l'insultaient. Et moi, j'étais la seule à guetter son retour au collège. Comme je ne la vis pas de la journée, j'étais aller à pied jusqu'à chez elle avant de rentrer chez moi. C'était sa mère qui m'avait ouvert: 

-Bonjour. Tu es une amie à Marie?

-Oui, je m'appelle Julie.

-Ah Julie! On a beaucoup entendu parler de toi. Viens, entre, Marie est malade, elle n'a pas pu aller en cour aujourd'hui. Mais je suis qu'elle sera contente de te voir. Tu viens pour lui donner les cours?

-Oui. Dis-je soulagée. La mère de mon amie m'emmena dans sa chambre qui était au deuxième étage. Elle frappa à la porte en annonçant à sa fille la visite d'une amie. Elle me laissa entrer et elle referma la porte derrière moi. La chambre avait des murs blanc crème, ils étaient recouvert de photo de chevaux. Un poster était accroché au dessus de son lit, il représenté une cavalière de haut niveau en train de sauter un obstacle d'un hauteur époustouflante. Sinon, tous le reste était des photos de Marie et de chevaux. Mon regard fut attiré par une photo d'elle et d'un cheval noir. Elle avait l'air heureuse. Sur cette image, elle avait le même sourire que celui qu'elle avait la première fois où je l'ai vu au collège.  Je fus choquée par la différence en entre avant et maintenant. En levant les yeux sur elle, je découvrit une fille au visage pâle, au cheveux en bataille, pas maquillée, elle avait la'ai triste. Elle était squelettique. Elle faisait limite peur. Toute trace de bonheur avait désormais déserté son visage fatigué. 

-Salut. Me dit elle d'une voix morne, étranglée par des sanglots qu'elle essayée manifestement de contrôler. 

-Salut. Alors comme ça tu es malade? Comme phrase nulle, il n'y avait pas mieux, mais sur le moment je n'ai rien trouvé de mieux. 

-Oui.

-Je suis venue te donner les cours que tu as raté.

-Merci. C'est... C'est gentil.

-Derien. je me suis approchée d'elle et j'ai sortis quelques cahiers de mon sac. Marie leva un bras pour attraper ce que je lui tendais, la manche de son pull découvrit légèrement son poignet. Il était rouge et des entailles était présentes. En suivant mon regard, mon amie baissa vite sa manche.

-C'était quoi?

-Rien!

-Marie...

-C'était rien!! 

-Tu... Tu te mutile? 

-Non!! C'était rien du tout!! Des larmes coulaient maintenant sur ses joues. Je voulus la consoler, mais elle me repoussa. 

-Dégage!! M'ordonna-t-elle en criant.  Je me mis à mon tour à pleurer. J'ai attrapé en vitesse mes affaires et je suis partis, sans un mot, sans dire au revoir à ses parents. Sur le chemin du retour, je prit une décision: J'allais parler à Anna au plus vite pour qu'elle arrête tous, et si elle ne voulait pas m'écouter, je dirais tout à mon père.    

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