J'ai jamais assumé mes jeans 38/40
La nuit, les espoirs du 32 me hante
En vain j'essaye de remonter la pente
Les enfers, vous n'êtes pas prêt pour ma descente
Un jour j'appuierais surement sur la détente
Épuiser par toutes ces remarques désobligeantes
Lancées par des personnes que j'croyais aimantes
Elles me détruise d'une manière affligeanteLes gars se retournent toujours sur les mêmes tassepé
Celles qui ont le ventre plat comme mon phone-télé
Et des formes bien marquées
Pas sur les meufs comme moi avec des p'tits bourrelets
Miroir, miroir, aminci mon reflet
Car moi même je suis dégoûtée
Les humains doivent être à égalité
Mais pour mon corps j'me suis fais rouler
Niveau manque de confiance en soi personne peut m'égaler

VOUS LISEZ
Delbor
PoetryDans mon corps c'est l'delbor, à cause des idées de dehors. Alors j'écris pour mettre à plat ce fouillis. Juste quelques lignes, quelques rimes que je pose ici. N'aie pas peur, de la froideur de mon coeur. Je t'ai déjà dit que c'était le delbor à l...