Journal intime.

664 39 4
                                    

Cher Journal,

C'était une belle nuit hier. Nos deux corps qui se cherchent, qui se trouvent et n'en forme plus qu'un. C'était si beau, que je pleure en écrivant c'est mots. J'ai arrêté de compter toutes les fois où je nous ai imaginer nous aimer. Je n'ai plus besoin d'y penser maintenant.

Il m'a serré contre lui toute la nuit, sans me lâcher une seule fois. Et de ses jolies mains il me caressait les cheveux. Même endormi, je ressentais toute l'électricité dans mon corps, tout c'est frisons que j'aime tant quand il me touche ou qu'il me regarde.
Je me suis réveiller plusieurs fois, de peur qu'il s'en aille mais, à ma grande surprise il est resté là, contre moi, nos deux corps nus collés l'un à l'autre. Il me protégeait encore du reste du monde.

Alors je me collais encore plus à lui pour pouvoir m'imprégner de son odeur à tout jamais.
Me souvenirs de la douceur de sa peau.
Retenir l'emplacement de chacun de ses points de beautés.
La texture de ses cheveux couleurs nuit.
J'écoutais attentivement le bruit de sa respiration, je voudrai ne jamais oublier tout ce qui le construit.
Un chaque respiration, à chaque inspiration, chaque caresses dans mes  cheveux, chaque baiser sur le haut de ma tête, je ressentais une douce chaleurs dans ma partie basse, mélangés à de doux frissonnements.

Je veux me souvenirs de tout cela et bien plus encore pour que quand il est loin de moi ou bien que je suis dans mes songes, je pourrais rêver de tout ça, pour ne plus jamais me mettre à cauchemarder.

Je me rappel avoir souhaité que je désirais que le jour ne se lève plus jamais. Afin de rester contre lui pour le reste de ma vie. Mais, pourtant, comme toujours les oiseaux se sont mis à chanter, les rayons de lumière ce sont glissés à travers la fenêtre, se projetant sur le parquet lisse.
Et j'ai sentit son corps se détacher du mien.
Et à ce moments là, je me suis sentis si vide.

- Où..ou tu vas?..
- Préparer votre petit déjeuner, Bocchan.
- Non, restes..
- Mais..
- Réchauffe-moi, Sébastian.
- Yes, my lord.

Alors il s'est recouché contre moi et on s'est regardés longtemps. On se parlait avec les yeux. Et c'était beau tout ce qu'il me disait. Tout ce qu'il me faisait ressentir rien quand me regardant. Et on s'échangeait des sourires maladroits recouvert de tendresse et de " Je t'aime".

Je n'arrive pas à me dire qu'il m'aime.
Je n'arrive pas à me dire que nous serons à jamais ensemble, pas que cela ne me rends pas heureux, bien au contraire.
Je suis si impatient de l'aimer à chaque seconde.

Je suis si impatient de savoir ce que la vie nous resserve..cher journal.

You're my soulmate. ( Black Butler, CielxSebastian.) [ En Pause] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant