Les adultes disent souvent
"ce n'etait qu'un amour d'adolescent, un amour insinifiant."
Mais s'ils savaient...
N'ont ils jamais eu notre âge ?
N'ont ils jamais été amoureux ?
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salut, j'ai récupéré la chose que tu appelle "gâteau". c'est désormais une masse vaguement crémeuse mélangé à ce qui ressemblait autrefois à de la pâte. toutefois ce n'était pas si mauvais que ça. si je devais faire une comparaison? cela ressemblerait à ça : c'était aussi bon qu'un bonbon à la fraise après une clope, bon mais écoeurant. merci quand même. a.h
ps : par contre tu restes toujours une pute, ne pense pas que c'est en m'offrant un gâteau que je vais devenir ton meilleur ami.
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Je regarde en sa direction mais celui ci à disparu.
Je décide donc de lui rédiger une réponse étant donné que je n'ai pas son numéro.
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Salut, je ne pensais pas que tu toucherais à cette chose vu l'état dans Lequel je l'ai laissé, mais c'est cool qu'il t'ai plu. Sympa la comparaison, c'est pas mon truc mais celle ci n'est pas trop mauvaise.
-h
Ps : Tu es toujours un connare et ce n'est pas en ayant mangé un bout du "gâteau" que cela va changer. Ne t'inquiète pas je n'avais pas l'intention d'être ton ami.
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J'ouvre complètement la fenêtre et monte sur le toit.
Lorsque l'on est sur le toit, nous pouvons accéder à l'arbre se trouvant sur le côté de la maison et qui par chance, me permet de quitter la maison sans passer par la porte d'entrée et subir mes parents me sautant dessus pour me demander :
"tu vas où ? Avec qui ? Tu rentre quand ?"
Bref l'horreur.
J'escalade donc l'arbre et traverse la rue.
Pour avoir déjà vu Aaron rejoindre sa chambre à la manière Héléa, je sais que celle ci est en face de la mienne et qu'il prends l'échelle ce qui permet d'atteindre la fenêtre.
J'attrape l'échelle et la cale contre le mur.
Je grimpe et dépose le bout de papier juste devant la fenêtre de faite qu'il soit le plus en évidence possible.
Lorsque le papier est bien fixé, je reprends l'échelle, et en moins de deux, j'escalade l'arbre de mon jardin.
Une fois ma périlleuse aventure achevé, nous rejoignons, moi et mes pensées, le lit qui m'attendait patiemment.
