Chapitre 14 : "Tu n'es pas mort ! "

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Les cendres s'éteignent et la respiration de Ben' devient régulière. Tous le monde dors et Evan ronfle d'ailleurs. J'attends quelques minutes pour être sur de ce que Je vais faire et je me défais de son emprise. Je m'éloigne doucement du feu de camp, l'arme sur le dos. Je me retourne une dernière fois vers mes amis pour vérifier qu'ils dorment à point fermer et je reprend ma route.

J'entends soudainement un craquement de branche mais, quand je me retourne il n'y a personne, je continue mon chemin, un autre bruit reprend et une légère lumière brille et disparaît. Je prends mon arme en main et j'avance vers celle-ci, je me cache précipitamment derrière un tronc d'arbre en voyant un autre, il a une arme dans la main et il marche à la recherche d'une proie. Je me colle au tronc d'arbre et je calme ma respiration. Il suffit que je l'évite, si je tire le bruit va réveiller les autres. Aucun bruit je me relève mais, je suis violement projeter au sol. Il est la devant moi, il me regarde vide d'émotion. Je me redresse rapidement et je le pousse pour le faire tomber sur le sol mais, il est plus fort que moi. Il me donne un coup au coin de l'oeil à l'aide de son arme. Je m'ecroule au sol. L'autre m'attrape par le cou et il me serre dans ses bras. Ma respiration s'affablie, il pointe l'arme sur ma tempe. C'est la fin... j'espère que Ben' et Lana ne vont pas m'envouoloir. J'allais fermer les yeux mais, une idée tel un éclair traverse mon esprit. Une prise qu'on a appris a l'entraînement. Je maintiens son bras avec les deux mains et je prends appuie sur mes jambes pour le soulever. Il passe au dessus de moi et je lui donne un coup à la tête avant qu'il puisse se relever. Il s'étale au sol inconsient. Je prends quelques minutes à reprendre ma respiration.

J'arrive finalement à la barrière de l'autoroute. La voiture carmoniser est toujours là mais, la route est désert.

Je prends mon arme dans ma main et j'enjambe la barrière. Je marche à pas de loup et au moindre bruit je me retourne mais, ce n'est qu'un annimal des bois.

Thomas? Chuchotais-je. J'ai déjà traversé la moitié de l'autoroute et je me retrouve au milieu. Je sais que Tu es en vie. Je fais un pas de plus. Tu n'est pas mort ! Je crie mais, aucune réponse.

Mes genoux touches le sol. J'ai fait une erreurs? Il est vraiment mort? Des larmes coulent sur mes joues. Pourtant je l'ai vue!

Daniella? Murmure une voix. Daniella c'est toi? Je me redresse rapidement.

J'accours sur la route, je contourne les débris de la voiture brûlé et j'enjambe la barrière. Je perds légèrement l'équilibre en voyant Thomas adossé à un arbre, les bras replier sur son ventre et dans une marre de sang. Il se force a faire un sourire en ma voyant.

Je suis content de te voir. Il toussote et je me jette auprès de lui.

Où Tu as mal ? Je demande.

Partout. Il murmure.

Je ne sais pas quoi faire. Mes mains tremble et la peur grimpe en moi.

Danniella. Il attrape ma main. J'ai besoin de toi, ne me laisse pas. Il respire bruyamment. Je secoue la tête et je reprend mes esprits.

Dis moi quoi faire.

Dans mon sac, il y a une aiguille et du fil, tu vas devoir recoudre ma jambe. Je degluttis et J'attrape le affaires au fond du sac. Il soit avoir un couteau, il faut que tu découpe mes vêtements.

Je prends une grande inspiration avant de découper son jeans imbibé de sang. Je me serre d'une serviette pour arrêter l'hémorragie et je commence à recoudre.

Tu te débrouille bien. Soupire t-îl.

Merci.

Comment tu as sue?

Je t'ai vue. Je fais un léger neux et je coupe le fil avec mes dents.

Et les autres?

Je le fixe. Son front est en sueur et des cernes se forment sous ses yeux.

Tu as froid? Demandais-je en posant ma main sur son front. Il est brûlant.

Oui. Il marque une pose. Et les autres?

Il faut qu'on aille s'abriter. Je me lève. Tu peux marcher?

Oui je pense. Il se redresse lentement en gardant un appuie sur le chêne. 

Attends je vais t'aider. Je passe un bras dans son dos. Il s'appuie sur moi et nous nous enfonçons dans la forêt.

La nuit est froide, presque glaciale. J'aperçois un vieux vanne rouillé, garé entre deux arbres.

Attends moi là, je vais voir. Je lâche Thomas qui s'adosse a un arbe et je me dirige vers la voiture.

Personne. Je fais tomber la branche qui étais sur parchoque et j'ouvre la portière. Un nuage de poussière s'évapore. Je toussaute.

Tout va bien? Me demande Thomas 3 arbres devant moi.

Oui. Je le retrouve et je l'allonge sur la banquette arrière. Il grimace de douleur.

J'ai chaud. Il respire bruyamment.

Je descend la fermeture de son blouson et je lui retire.

Il faut qu'on trouve une solution ou tu.. je termine pas la phrase.

Je sais.

Je prends la gourde au de son sac et je mouille un mouchoir en tissu. Je lui tapote le front. Même dans le noir, je remarque ses petits yeux.

Tu peux partir maintenant. Murmure t-il.

Je ne t'abandonnerai pas. Il ouvre ses bras.

J'ai besoin d'une source de chaleur.
Je fronçe les sourcils. Viens contre moi.

Mais Ben'..

Il n'en saura rien.

Je referme la portière et je me blottis contre lui. Son coeur bat vite, très vite. C'est bon signe ça veut dire que son corps se bat contre la fièvre. Il carresse mes cheveux.

Ils ne t'ont pas crue c'est ça? Il chuchote les yeux rivé sur le plafond de la voiture.

Non, désolé. Je soupire.

C'est parce que tu es nouvelle c'est tout.

Je sais. Dors maintenant.

Je me colle d'avantage à lui.

Merci. Ça respiration se fait de plus en plus régulière et il s'endort.

J'espère que Ben' va bien.

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Désolé pour le retard!

Allez faire un tour que la fiction "Rebelle!".

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