THUGYH'S BOOK

Poème

Salem aleykoum, Bonjour. Vous allez bien ?

En fait j'écris des poèmes et j'ai donc voulu faire un recueil de poèmes. Sur un coup de tête j'ai envoyé à une maison d'édition, moi qui pensais que mon recueil sera refusé mais il s'avère qu'ils ont aimé ! Et mon recueil a été sectionnée et sera prochainement publié en livre ! Je suis choquée, mais réellement contente car c'était mon rêve !

Après c'est mon premier recueil de poèmes et donc cela, ne va pas être excellent mais je suis quand même fière de ce que j'ai fait car ce sont mes poèmes, mes pensées et les faire partager à un public serait mon plus grand souhait. Je ne cherche pas le succès mais juste à faire partager mes pensées

C'est pour cela que je vais vous montrer un aperçu de ce recueil afin que vous puissiez voir à quoi cela ressemble et si vous êtes intéressées

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Préface

Je suis tous ceux et celles qui souffrent à l'intérieur et redoutent de se confier. Je suis tous ceux et celles qui ont le mal de vivre. Je veux dire à ces compagnons qui ont tant besoin de se confier mais ne trouvent personne à qui parler, vivant dans la désolation alors qu'au fond ils ne cherchent qu'une chose : l'attention. Tous ces cœurs solitaires, repliés sur eux-mêmes, qui ont peur par peur d'être jugées par des langues de vipères, je veux leur dire : Ouvrez ce bon cœur, laissez couler ce venin mortifère.

Pourront-ils croire réellement à cette lueur qui vit à l'intérieur de tout être humain ?

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« Regard embrumé, cœur peiné et âme dépecée
Il cherchait cette lumière égarée
Qui ne cessait d'affecter ses pensées taraudées
Remuant terre et ciel pour la retrouver

Regard noirci, cœur meurtri et âme assombrie
Il attendait, attendait cette lumière de vie
Qui ne cessait d'ébranler son esprit
Remuant terre et ciel pour la retrouver, épanouie

Il suppliait les cieux de revoir cet ange aigri
Pour qu'il puisse l'aider dans sa vie endolorie
Il suppliait Dieu de revoir cette beauté périe

Chaque seconde, Chaque jour minute, Chaque jour
Il espérait entendre son cri sourd
Mais en vain, aucune trace de son amour »
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« Tu préférais te faire des billets
Prêt à tout, même à tuer
Tu préférais t'isoler
Par peur de te faire fumer

La rue t'avait tellement charmé
Que tu avais décidé de l'aimer
Elle se comportait comme ta fiancée
Prêt à mettre la dot pour te marier

Tu voulais thésauriser
En raison de ton obsession par la facilité
Tu voulais faire la rue, ta princesse
Au lieu de penser à ta mère, en détresse

Mais quand la rue te la mettait à l'envers
Bienvenue aux portes des enfers
Tu disais qu'il n'y avait pas le temps aux regrets
Une fois ton cœur meurtri, avais-tu encore ta fierté ?

Une fois baigné dans les interdits
Tu avais fait de ta vie, une tragédie
Oubliant les personnes qui t'entouraient, par amour
Tu as préféré faire le sourd

L'amour que tu portais à ta mère
S'envolait et ne devenait qu'éphémère
Tu ne la regardais même plus
Tu souhaitais tellement plaire à la rue »

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" Mort, ange de la mort, ôte-moi la vie
Je ne veux plus aimer cette miteuse de vie aigrie
Prends moi afin que je sois, pour une fois, épanouie "

« Quel est ce sentiment qui nous apporte des frissons ?
Et nous immerge dans une profonde affliction
Quel est ce sentiment qui annihile notre vie ?
Et souhaite que nous soyons complètement détruits

Elle avance, avance sans que nous soyons véritablement conscients
Et s'infiltre en nous, tout doucement mais sûrement.
Elle s'empare de nous et nous contrôle tels des prisonniers
Et ne cherche qu'à nous dompter pour mieux nous piller

Ce sentiment s'associe à la souffrance
En exterminant toute once d'espérance
Et se dit ennemi de la jouissance

Cet état se traduit par un dégoût de la vie
Mais aussi par le manque d'énergie
Et nous baigne dans la sombre mélancolie »

Cet état de souffrance, qui se traduit par une profonde tristesse, par un dégoût de la vie est appelé dépression. Elle devient dangereuse dans la mesure où elle amène l'homme à contester son existence c'est à dire qu'elle peut également amener l'homme à ôter sa misérable vie

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Nous ne la ressentons que dans l'ultime moment
Comment ? D'où vient-elle, qui est-elle pour nous approcher ?
Hélas ! Nous ne la connaissons réellement
Puisque nous parviendrons jamais à la discerner

Qualifiée d'imperceptible, elle avance, avance
Et nous guette, nous suit bien avant notre naissance
Cette beauté ne cesse de ravager
Telles des foudres venant s'écraser dans cet astre condamné

Elle, qui nous terrifie et hante nos esprits
Se dit fièrement ennemie de la vie
Elle, qui nous attrape à tout moment
Se dit fièrement insouciante du temps
Elle ? La mort, * Tout âme goûtera à la mort *

Certains préféreront la mort qu'à de l'or
D'autres, fuiront et le crieront haut et fort
Ces beaux anges viendront nous ôter la vie

Et nous serons orientés vers l'enfer ou le paradis
À cet instant, nul ne connaît sa destinée
Cela ne sera dit qu'au Jugement Dernier

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J'suis simplement une plume du bitume
Qui ne cherche à faire fortune
Je préfère la reconnaissance que la tune
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Frangin, il ne me reste qu'une seule issue
C'est celle de la rue
Je plonge dans le hram*
Ne t'étonne pas si je perds mon âme
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Voilà, j'espère que vous avez aimez. Si vous êtes intéressé(e)s. Envoyer un message je vous répondrai le plus rapidement possible. De plus ce recueil est assez fin, normalement une vingtaine voire une trentaine de pages.

C'est un projet qui me tient réellement à cœur. J'ai voulu aussi varier les styles d'écriture. J'ai même mis des mots en arabe pour montrer la diversité de ce recueil, mélangeant l'amour et la tristesse.

Si des personnes sont intéressé(e)s par ce recueil venez me contacter.  La publication de ce recueil est prévu pour juillet-août 2016 In Sha Allah

@Douloureuse_plume