Chapitre 1:

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"-Youssef, Youssef !" La sœur de Youssef l'éveille avec fougue non pas comme les autres jours ou elle l'éveillait avec douceur comme la goutte de rose tombant sur un nénuphar. Il enfila ses vêtements d'un air songeur pris une tasse de thé rouge puis pris sa casquette et son skate et partit de la maison, sa mère une révolutionnaire s'inquiéta pour lui mais elle dit que s'il mourait c'était pour la gloire de son pays. Youssef contourna toutes les allées pour enfin arriver à la rue Habib Bourguiba. La rue avant affectueuse est devenue  bondée le peuple tunisien immaculée se drapeaux tunisien crie à tue tête un slogan qui deviendra une des phrases les plus populaires du XXIéme siècle : "Dégage" Ils se joignit à eux,Omar son ami  lui gardit une petite place avec en prime un grand drapeau tunisien. Youssef sourit alors férocement il allait apprendre à Ben Ali que les traîtres de son espèce n'ont rien avoir dans cette généreuse patrie. Youssef prit un grand mégaphone qui couvrant tout les bruits confus du peuple commença avec la voix amplifié de Youssef : "Mes chers citoyens Grace à un réseau social je vous ai demander de venir ici ça a commencé avec trente pour en arriver à  5 millions."Un long silence se fit entendre puis : "Allons y : 

Ô défenseurs de la Nation, allons à la rencontre de la gloire !

« Mourons s'il le faut pour que vive la patrie ! »
Clame le sang qui coule dans nos veines.

Que n'y vive point quiconque refuse d'être au nombre de ses soldats !
Tenus par notre serment de fidélité à son égard,
Nous vivrons sur son sol dans la dignité
Ou nous mourrons, pour elle, dans la grandeur.

Notre héritage, parmi les nations, réside dans la force de nos bras
Des bras aussi durs que le roc de ces imposants édifices
Et qui portent haut l'étendard du pays.
Cet étendard qui fait notre fierté et qui est lui-même fier d'être porté par nous.
des bras qui nous propulsent vers les plus hauts sommets
De la gloire et de la grandeur,
Qui nous garantissent la réalisation de nos vœux,
Qui font abattre des malheurs sur les ennemis de notre Patrie,
Mais qui sont pacifiques à l'égard de ceux qui nous veulent la paix.

Lorsqu'un jour le peuple veut vivre, force est pour le destin, de répondre,
Force est pour les ténèbres de se dissiper, force est pour les chaînes de se briser

La révolution du blackoutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant