Chapitre 2:

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Tout est vague, Youssef sentit deux personnes le soulever ... Il dorma pendant à peu prés 3 heures il se réveilla et se trouva au commissariat. "Ouvre tes yeux dit alors une très étrange effrayante même, allez sale con alors mon p'tit tu d'mande qu'il viennent contre le pouvoir alors maintenant tu vas dire que Ben Ali est ton maître sous peine de vivre tes atrocités mais ta maman vivra des choses plus atroces t'inquiètes po" Ce language le choqua dire qu'il a manifesté "in peace" puis il en arrive à la dans un commissariat avec un policier le menaçant de mourir. "Chopez le, petit c'est un héros national et puis libérez les autres, -Mais chef on a pas assez de temps, -FAIS CE QUE J'TE DIS" 

Youssef se sentit alors transporté sur les épaules d'un homme assez bien bâti a en reconnaître ses épaules assez dures : "T'inquiétes pas mon petit ne t'inquiétes pas" Alors il dorma de longues heures pensant pour la premiére fois à son pére mort le 17 décembre ce n'était pas le célebre Bouazizi mais son pére a protésté contre les policiers venant chargez les bombes à gaz lacrymogéne.

PS de l'écrivain : J'espère que ça t'a plu je vais un peu m'absentez donc il faudra attendre.

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⏰ Dernière mise à jour : May 17, 2016 ⏰

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La révolution du blackoutOù les histoires vivent. Découvrez maintenant