Le Repu Des Braises

Le Renaissant Cendré

On renaît toujours de ces cendres, que soit par l'esprit ou par la matière, on ne disparaît jamais totalement du moins nos rêve subsiste dans l'infinité de l'espace qui nous entoure et qui nous protège. Ionas l'a-t-il compris , le savoir ne nous appartient pas , mais il n'échappera pas au destin cyclique de la renaissance.

"Vitales mortunes del palte drogony tydgrae sulotueyt drenai" Irozon Rtosine 2016

Un tas de cendre reposait au milieu de cette place circulaire qui amenait les yeux a regarder le détour de l'âme des morts. Un dallage de pierres granitique recouvrait toute cette surface, une lumière dont l'origine était indéfinissable éclairait la scène. Les langues de vert feu pendaient le long des arbres abîmait par la souffrance ressentis dans la perte de l' essence d'exister. L' envie d'être ne pouvait pas apparaître en ces lieux si décaler de notre réalité. Le rond abyssale n'était que le cercueil des âmes abandonnés par l'envie de rêver.

Une main grise et marbrelé de vert sortis brusquement de ce tas de morts grisâtre comme pour arrêter une chute inénarrable. Puis le second mécanisme composé de cinq membres sorti à son tour, ce fut la renaissance de l'enfant brûlé par la chaleur de son envie à planer au dessus de la vision que son esprit aurait du lui imposer.

"Ehyd trevisto dregaure idof gatreqaopert tie Solamoquyrte",Tyzone Philosophe de la Destructuration, destructureur de la classique pensée interne à la banalité de l'homme banale , 2016 dans le vide pesant de son grand génie .

Les deux mains se posèrent sur ce sol froid mais dure et pousseraient pour extraire le reste de leur corps lui aussi recouvert de ces drôles de rivières coloré d'une lumière verdoyante. Le buste soulevé, il regarda le lointain reflet de cette réalité à présent distancé. La place se mit à tourner violemment la tête du déchu se retrouva prit par l'inertie du mouvement et sans pouvoir rien n'y faire il laissa sont corps se faire secouer du fait de l'immoralité de la destruction d'une beauté incarné par l'envie d'avoir au lieu d'être. La cendre, qui reposait jusqu'à présent sur le sortant de cette vision fausse et bien réduite de la mort ,s'envolérent en un tourbillon de tourments et d'amour vicié par le sang de nombreux innocent .

On n'apparaît pas comme le sauveur d'un esprit seulement parce qu'on repose sur lui, il faut l'avoir détruit pour mieux le comprendre et ainsi on peut prétendre l'avoir approcher. On ne recherche pas dans un verre d'eau vicié le petit boutons d'orges qui est censé avoir germé puisqu'il n'en n'a pas la possibilité, ainsi il ne faut pas avoir une idée parchementé lorsque la conscience intéressé de la mort voit dans l'existence d'un être plus ou moins touché par la puissance eucrasienne , le temps qu'il peut prendre à être le premier à croire qu'on peut aller en avant de sa réalité.

Coupant les racines de l'arbre immaculé, on voit en ceci un ridicule profond troublé par les vagues de l'esprit. Ce mouvement brusque ne peut pas avoir effleurer l'idée de cette enfant à nouveau conscient de ça matérialité tant aimé. Pourtant les chemins des songes et des pensées noyées par les flots de l'idolâtrie, sont encore à traverser pour au termes de ce processus aboutir à la raison de ça venue en ces terres désolée.

Le corps déstructuré par l'ambivalence de ce lieu se mit à se mouvoir vers l'absolution de son existence à nouveau rendu dans l'esprit de cet homme detruit par la pensée vagabonde...