Ch2

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Reprends toi Drea, si ça se trouve ce n'est pas lui, beaucoup de gens ont ce sweat, ce n'est qu'une stupide coïncidence.

" Euh oui bonjour, vous êtes ?
- Hemron Jones, quelqu'un m'a demandé de vous donner ceci. "

Le garçon me tend un bout de papier que je ne prends pas.

" Au-revoir.
- Mais attendez et le / "

Je venais de claquer la porte avant qu'il ne puisse finir sa phrase.
Je vois des jambes passés à travers la fenêtre de la cuisine et là j'ouvre la porte et sors en courant.
Mais ce type est malade.

Je cours​ en direction de la forêt qui est à côté de chez moi sans me poser de question.
Mes pieds bougent à une vitesse folle.
Je ne vois rien il fait sombre.
Je me prends une branche et je trébuche ... attendez c'est exactement pareil que dans mon rêve, oh non je dois repartir vite sinon /

" Aaahhhhh
- Chut, dit Hemron en mettant sa main sur ma bouche
- Aaahhh, mais t'es taré !! "

J'avais mordu ce malade pour qu'il me lâche, j'ai essayée de repartir mais ma cheville n'était certainement pas du même avis que moi, elle ne voulais pas que je fasse un pas.
Je pense me l'être casser quand j'ai trébucher et sa fait extrêmement mal.

" Avant que tu reparte c'est ton père qui m'a demandé de te donner le mot.
- pourquoi tu ne l'a pas dit plus tôt ? Dis-je en lui arrachant le papier des mains. "

" Ma puce il faut que l'on discute ce soir, j'ai quelque chose de très urgent et de très important à te dire, à ce soir "

" Pourquoi c'est pas mon père qui est venu me le donner ?
-

Certainement parce qu'il ne pouvait pas ! Mon père est le collègue du tiens et il m'a demander de te l'apporter.
- Tu n'as pas cours à cet heure ci ?
- Oui bien sûr, avoir cours le dimanche ça doit être totalement normal pour toi vu que tu es taré, frappe à dingue, barjot et totalement folle !!
- On est dimanche ?
- Non on est samerdi, bin oui on est dimanche. Fait moi voir ta cheville, dit-il soudain.
- Non tu n'y touche pas, je recule en me traînant.
- D'accord, au-revoir, une famille de singe voudra sûrement t'accueillir et avec un peu de chance tu trouveras à manger, dit-il en s'éloignant.
- Non reviens, ne me laisse pas s'il te plait. "

Il revient et m'aide à me lever en me faisant appuyer sur lui il me tient par la taille et nous avançons à pas lent.

Nous entendons un bruit et nous nous retournons, mais il n'y avais rien alors nous continuons notre chemin quand le même bruit se fait entendre à nouveau.
Nous essayons de presser le pas et le bruit se fait de plus en plus entendre quand soudain

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Les yeux du Diable (En Pause){En Correction}[En Réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant