Monstre "Tokyo Ghoul"

1 . Le diner

Je suis dans ma chambre entrain de regarder un film en mangeant des chips. Ma vie est tellement trépignante n'est-ce pas ? Mais en ce moment une vie calme est le paradis à mes yeux.

J'entends des personnes traverser l'allée de la maison en parlant très fort, enfin surtout la voix la plus aiguë. J'éteins la télévision et je mets le paquet de chips qui est bien sûr vide dans la poubelle. Je sors de ma chambre pieds nues et descends les marches de l'escalier qui me mène  à l'entrée.

Moi - Ils arrivent !

Monsieur Arima - D'accord. Vas ouvrir la porte, s'il te plaie !

Monsieur Arima m'avait dit que des collègues à lui venaient manger, à la maison, ce soir. Donc je me dirige vers la porte d'entrée et je leurs ouvre. 

Je vois deux hommes, le premier qui cache l'autre est grand et musclé avec une tête ronde et les cheveux rasés sur les cotés. Il a l'air étonné que j'ouvre la porte avant même qu'il ai appuyé sur la sonnette. Le deuxième toujours caché par le premier montre que sa petite tête il est bien plus jeune que le premier. Il fait bien que 5 cm de plus que moi et pour tant je ne suis pas bien grande, que 1m55. Il a le teint très pale, les cheveux d'une blancheur irréel dont une mèche est retenu par des barrettes rouge. Des points de sutures sous sont œil droit et au coin de ses lèvres toujours du même côté attirèrent mon attention.

Je me demande si il en a d'autres ?

Je n'avais pas remarqué mais ses yeux sont rouge foncé ça me rappelle ceux des ghoules. 

Monsieur Arima - Bonsoir, à vous deux ! Ne restez pas dans le froid rentrez .

Je les laisse passer dans l'entrée pour qu'ils enlèvent leurs manteaux. Le deuxième hommes a bien d'autres points de sutures sur les bras et sur son coup qui descendent jusque au torse, je suppose .

Le premier - Bonsoir.

Le deuxième - Bonjour, bonjour !

Monsieur Arima - Je vous présente Diana, ma fille adoptive depuis 2 ans, maintenant.

Le premier - Alors c'est ça ta surprise ! C'est vraie que tu es parti 2 ans dans le vingt-troisième tu as dû l'adopter là bas, je me trompe ?

  "Sa surprise" j'ai l'impression d'être de la marchandise mais monsieur Arima n'est pas comme ça . Enfin je croie pas...

Le premier - Je m'appelle Yukinori Shinohara et lui c'est Jûzo Suzuya mon subalterne. * En me serrant la main *

Jûzo Suzuya - Enchanté appelle moi Jûzo. Je suis tellement content de te connaitre! *Tout joyeux *

Monsieur Arima - Bon à table tout le monde ! * en crient *

Je me bouche toute suite les oreilles comme un réflexe et le regarde avec un regard noir.

Jûzo - On mange quoi ?

Diana- Une blanquette de veau avec des pommes de terres. *En s'entend la bonne odeur*

On se dirige vers la cuisine, la cuisine qui fait aussi salle à manger et salon. On s'assoit. Je les regarde fixement, j'avoue que je fais ça souvent avec des personnes qui me sont étrangères, comme pour les identifier. En y réfléchissant ça fait un peut psychopathe. 

Monsieur Arima - Diana, arrête de les regarder comme ça ! Ne t'inquiète pas ils ne vont pas te faire de mal.

Diana - Mais... monsieur Arima ... je ... *gêner*

Monsieur Arima - Combien de fois je t'es dit de m'appeler "Papa " ou "Arima" si tu préfère ?!

Jûzo - Ne t'inquiète pas on est tout gentil nous ! *Me souris *

Je lui rends son sourire et je baisse le regard. Et maintenant c'est Jûzo qui me regarde mais il arrête dès que le plat arrive sur la table. Je suis sûr que je suis toute rouge.

Monsieur Arima nous sert. Jûzo a le regard émerveillé comme si c'est la plus belle chose qu'il n'a jamais vue de sa vie. Et il cria "Itadakimas" (bon repas )en me regardant, ce qui me fait sursauter.

Je rougis de plus bel. Il faut vraiment que j'arrive à me contrôler.  

Monsieur Arima et monsieur Shinohara - Itadakimasu ! *en chœur *

Monsieur Shinohara - Alors, Diana tu peux nous en dire un peu plus sur toi ?

Diana - Euh... j'ai 18 ans et... 

Monsieur Arima - Elle est gourmande et elle chante très bien !

Je tourne rapidement vers ma droite, surprise et un peu agacée. Pourquoi a-t'il répondu à ma place ? Sans doute parce qu'il croit que je n'allais pas réussir à en parler seul. Je suis gênée mais moins stresser, c'est déjà ça, non ?

Monsieur Shinohara - Ho tu chantes! Est ce-que tu peux nous chanter quelque chose ?

Jûzo- Ouuuuiiiiii, s'il te plaie !!

Je hoche la tête et me lève pour  prendre mon piano qui se trouve dans un coin de la pièce. Après une grande inspiration, je me mets à jouer et à chanter ma chanson préféré, qui parle d'un garçon enfermé dans une cellule et qui se sent extrêmement seul. Monsieur Arima me regarde d'un regard fière, monsieur Shinohara m'écoute attentivement et en ce qui concerne Jûzo il a l'air encore émerveillé et il remue dans tout les sens. Pourtant la chanson n'est pas joyeuse ? Même pas du tout joyeuse. 

FIN DU CHAPITRE 1 ***