8 . Nouvelle importante

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Côté Diana

J'ouvre les yeux dans une pièce très lumineuse.

Où suis - je ?

Je tourne la tête, il y a monsieur Shinohara, monsieur Arim... non papa et Jûzo. Ils sont la près de moi sûrement dans un hôpital. Mes souvenirs sont troubles mais mon cœur qui battait la chamade je m'en rappelle comme si c'était hier... Mais c'était hier ! Bon vous m'avez comprise.

Diana - Bonjours tout le monde .

Jûzo - Diana, tu es réveiller !! *Il me pris dans ces bras *

Diana- Jûzo, laisse moi respirer.

Jûzo - Ho, désolé !

Jûzo me lâche et monsieur Shinohara et "papa" ce mirent à rirent.

Mais qu'es-ce qui est si drôle ?

Je regarde Jûzo qui me regarde à son tour et on éclate de rire. On était en plein fous rire quant une infirmière arrive dans la pièce.

Infirmière - C'est bien de vous voir aussi joyeux. * En nous sourient *

Elle écoute mon cœur qui battait assez fort et vite, elle regarde Jûzo et sourit.

Jûzo - Alors elle peux sortir ?

Infirmière - Oui ! Mais la secouée pas trop. *Toujours en souriant *

Jûzo - Merci beaucoup.

Elle sort en nous saluant toujours en souriant.

Je suis pas clown moi !

Jûzo me reprend dans ses bras, il va me faire faire une crise cardiaque mais bon ça ne me gênée pas tant que sa.

Monsieur Shinohara - Jûzo, je croie que tu n'as pas compris se que l'infirmière à dit. * en rigolant *

On se remit à rire, ils sortent pour que je me change. Donc je le fais et je sors. J'ai encore du mal à marcher alors "papa" me prend la main. On sort de l'hôpital en remercient les infirmières.

Papa - Bon on se voit ce soir ?

Monsieur Shinohara - Oui à ce soir. 19 h 00 .

Jûzo - Tu vas voire on va bien s'amuser. * En me regardant*

Papa - J'ai une nouvelle très importante à vous annoncer !

Ils prirent un taxie et nous faisons de même.

Diana - Il se passe quoi ce soir ?

Papa - J'ai vais invité quelque personne pour fêter ton retours.

Diana - A d'accord.

Je l'avais un peu anticiper. Ce qui me déranger plus c'est cette nouvelle importante. Je n'es même pas eu le temps de réfléchir trop longtemps qu'on  arrive. Je passe le palier de la porte, toujours la même odeur que j'aime tant, rien a changé. J'enlève mon manteau et me précipite dans ma chambre, tout est en place, je monte les marches de la mezzanine et je m' affale dans mon lit. Il y a l'odeur de Jûzo, ça sent tellement bon, une odeur de fraicheur. Et je m'endors.

Quant je me réveille il est 18 h 50. Je sors de mon lit et je me prépare.

Jûzo - Diana t'es la haut !!! * En criant *

Diana - J'arrive !

Je descends, monsieur Shinohara et Jûzo son déjà arrivés. Ils sont toujours souriant.

Jûzo - Diana !

Il me prend encore dans ses bras. Un vrai pot de colle.

Monsieur Shinohara - Bonsoir Diana.

Diana - Bonsoir. *Toujours dans les bras de Jûzo *

Je sent quelle que chose de très doux s'approcher de la porte. Je sorts des bras de Jûzo, je me dirige vers la porte et l'ouvre. J'adore faire cette blague si on peut appeler ça une blague.

Papa - Akira, Amon, Hoji, Seidô ! Bienvenu.

Akira - Merci. Enchantée Diana, je m'appelle Akira, le petit c'est Seidô à sa droite c'est son partenaire Monsieur Hoji et lui c'est Amon mon partenaire.

Diana - Enchanter.

Alors c'était eu qui m'avais sauvé ?

Je me tourne vers Jûzo qui est assit sur les marches de l'escalier  avec un petit air d'ennui et je lui dit :

Diana - Jûzo ! On se fais une partie de Mario kart ? * En lui souriant *

Un grand sourire se dessina sur son visage.

Jûzo - Avec plaisir !! * En se levant *

On se précipite dans le salon et
j' allume la console pendant que Jûzo se jeté sur le canapé. Je m'assois à coté de lui qui me regardais. Je le fixe à mon tour donc on se regarde mutuellement c'est logique.

Diana -On commence ! * En me détachent de son regard *

Jûzo - Ho .. eu ... oui.

On commence et enchaine les partis. Il est rouge. Je pense que je le suis aussi.

Jûzo - J'ai gagné !!

Papa - Oui vous avez gagné le droit de venir manger.

On se retourne et on se regarde avant de se précipiter à table. On s'assoit côte à côte. Papa nous servit. Miam des crêpes !

Monsieur Shinohara - Enfaite, Arima tu n'as pas une nouvelle à nous annoncer.

Je me tourne en laissant Jûzo me piquer ma crêpe.

Papa - À oui, c'est vraie. Je pars cinq ans en France !

Quoi, non impossible !!

Fin du chapitre huit .

Monstre "Tokyo Ghoul"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant