Angel moon

La poursuite

Je courais toujours. J'avais une crampe au côté droit. Je m'arrêta. On ne me suivait pas.
-Bon qui est tu, mec qui se trouve dans ma tête? Dis-je tout haut.

<<Ton ange gardien>> me dit-il.

-J'ai un ange gardien? Au fait ta un nom?

<<ange gardien>> me répondu mon ange gardien.

-Pas très bavard.

<<concentre toi sur le psychopathe qui te poursuit pas sur moi Mari>>

-Oooh ok. Dis-je sèchement.
-il ne me poursuis même plus! Tu t'y connais même pas.

<<Retourne toi et tu Vera>>

Je fit ce qu'il me dit. C'est alors que je le vu. Il rechargeait son arme à seulement 20 mètres de moi.

-Merde, il est tenace celui-la!

<<Tu as encore rien vu. Cour!>>

Je partit à courir. J'avais mal partout. Ça faisait déjà 15 min que je courrais. Je marcha et respira bruyamment.

<<Moins de bruit! Il est à 5min de où tu te trouve. Cache toi maintenant.>>

C'est alors que quelque chose m'attrapa la jambe gauche. Je poussa un petit cri.
-hiiii!

-Chut! Ça va? Pas trop eu mal? Me dit en chuchotant,le garçon qui se trouvait devant moi. Il avait les cheveux brun en coupe surfeur avec une casquette sur la tête noir. Il avait les yeux brun doré.
-Ouais si on veut. Dis-je en regardant mon bras couver de sang.

Oh mon écureuil! ( et oui écureuil! Je trouve sa plus beau que "oh mon dieux". J'aime les écureuil) une balle était incruster dans mon bras.Il remarqua ma blessure. Il souleva son chandail ce qui laissait voir son magnifique torse. Il déchira une partit de son t-shirt. Le garçon pris mon bras et faisa un petit bandage.

-Merci. Au fait tu t'appelle comment? Dis-je tout bas.
-Mathieu toi?
-Mari.

-Mari ma jolie où est tu? Je t'aime tellement! Tu me manque viens et tout reviendra comme avant. Quand je faisait tout ce que tu voulait. Viens ma vampirette.

<<Ne répond rien>>

-Ok. Lui répondais-je mentalement.

-Mari, ma belle Mari qui adore le rose laisse moi te montrer une nouvelle couleur: le rouge, celui de ton sang.

Mathieu me regarda. Il me pointa mes jeans. Et puis merde: rose. Il m'a donc vu. C'est alors qu'on me saisi le bras droit, celui qui me fait atrocement mal.

-Lâche moi! Lui dis-je enragée.
-Non tu es mienne et ce pour toujours!
Il me plaqua au sol. Il se pencha sur moi. Ses cheveux noirs me tombaient presque dans le visage. Il approcha sa tête de la mienne.
-Tu es et sera toujours un crétin! Lâche moi!
-Je t'aime.
-Tu ne m'aime pas. Tu es un obsédé.
Il rapprocha encore sa tête. Ses lèves étaient maintenant à quelques cm des miennes.
-Non ne fait pas ça.