Memory

Chapitre trois

Lorsque je m'avançais dans le parc pour rejoindre mes amis, il se mirent à rire en voyant la petite fille couverte de boue à mes cotés. Je m'attendais à voir de la compassion dans leur yeux mais non, il riait tous sans exception et je fus déçu par leurs comportements. Je leur lançais un regard noir et fit demi tour , suivit par l'enfant. C'est en courant que nous étions rentrées chez moi et que nous nous étions dirigé vers la salle de bain. Je lui fit couler un bain dans lequel elle se savonna pendant plus d'un quart d'heure et lorsqu'elle eut fini, je lui prêtait une de mes robe devenue beaucoup trop petite pour moi. J'entrepris de lui sécher les cheveux et d'attacher sa longue chevelure brune en queue de cheval, pour faire ressortir son magnifique visage. Je finalisais la coiffure avec une très jolie barrette en forme de papillon et laisser ces boucles retombaient dans son dos. Ces yeux verts en harmonie avec la nature étaient scintillant et la petite fille avait retrouvé le sourire après avoir vu son reflet dans le miroir. Elle me serra de nouveau dans ces bras mais cette fois c'était parce qu'elle était heureuse.

Une odeur de désinfectant emplie mon nez et me réveilla en sursaut. Je fut surprise de me retrouver dans un lit alors que je me trouvais à l'école il n'y avait même pas une heure.

- Tu te sens mieux ?

Une femme avec un blouse blanche s'avança vers moi et me tendit un morceau de chocolat. Je pris le petit carré noir et le dévisageais.

- Désolée petite, c'est tous ce que je peux te donner ici.

Je regardais autour de moi mais je n'avais aucune idée de ou je me trouvais. La pièce avait des murs et un carrelage blanc mais je ne pouvais rien voir d'autre, car le lit était entouré d'un rideau bleue.

- Ou suis-je ? Demandais-je en essayant de me lever, ma tête me fit mal et je serrais les dents.

- Tu es dans l'infirmerie de lycée. Tu nous a fait une sacré frayeur tu sais. J'ai manqué de faire un arrêt cardiaque quand Lucas à passé la porte de ma salle avec toi inconsciente dans les bras.

- Lucas ? Que c'est t-il passé ?

- Oui, c'est un de tes camarades de classe, mais tu ne dois pas encore le connaître puisque tu es nouvelle.

Je me souvenais vaguement avoir aperçut des yeux verts avant de perdre connaissant mais tous était encore un peu flou dans ma tête.

- Et pour répondre à ta deuxième question, continua-t-elle, tu as fait une crise dépilepsie mais j'ai vu dans ton dossier médical que tu as fourni que ce n'était pas la première fois.

- Oui, avouais-je, je suis épileptique depuis l'âge de douze ans, et il m'arrive de faire une crise de temps en temps.

- Oui c'est ce que ton père ma expliqué quand je lui es passé un coup de téléphone. Sa secrétaire ne voulais pas me le passé, mais quand j'ai dit que c'était pour toi, il a récupéré l'appel au quart de tour. Dailleurs il est en chemin pour venir te récupérer donc tu devrai continuer à te reposer.

Mon père était un avocat célèbre, il était donc son propre patron mais je doutais tous de même qu'il puisse quitter son travail sur un coup de tête. Cependant je l'avais toujours connu super protecteur envers moi. Il avait peur que je disparaisse comme ma mère.

On tapa contre la porte de l'infirmerie et l'infirmière hurla à la personne d'entrer. Je m'attendais à voir mon paternel mais non. La fille qui m'avait sauter dans les bras plus tôt, se tenait face à mon lit. Elle me dévisagea un long moment avant d'ouvrir la bouche pour parler.

- Comment te sens-tu ? Demanda-t-elle.

- Beaucoup mieux, avouais-je.

Elle avait de long cheveux noir et un regard bleu azure à coupait le souffle.