chapitre 16

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Les autres rigolerent et se moquerent de moi, parce qu'il fallait que je rencontre leur famille et tout le reste.
J'étais un peu retissante à cette idée cela faisait même pas 24h qu'on était ensemble.

Harryse : vous pouvez arrêter un peu ?
Arès : quoi qu'est ce qui se passe ?
Harryse :j'en ai un peu marre et je trouve trop rapide
Athena : qu'est ce que tu trouves trop rapide ?
Harryse : le fait qu'on soit ensemble et que vous vouliez que je rencontre votre famille. Pas que ça me gêne qu'on soit ensemble *en voyant son regard surpris* mais j'aurais aimer attendre un peu avant de vous le dire.
Appolon : désolé mon coeur, mais ils m auraient griller des que je taurais vu
Harryse : pas grave,mais on peut faire en sorte que ça ne sache pas tout de suite s'il vous plaît *gênée*
Artemis : pourquoi ? Vous vous aimez c'est le principal
Harryse : c'est plus compliqué que ça
Appolon : explique nous
Arès : c'est à cause tu n'arrives pas à parler n'est ce pas ?
Harryse : oui *honteuse* je peux pas en parler j'y arrive pas, ça me fait trop mal *avec les larmes aux yeux*
Athena : c'est pas grave si tu n'arrives pas à nous le dire,ça viendra
Harryse : je suis désolée
Appolon : tu n'as pas à t'excuser, c'est plus tôt à moi, je n'aurais pas du insister.
Harryse :si tu veux te faire pardonner j'ai un moyen *avec un sourire*
Appolon : lequel ? *sourire un peu pervers*
Harryse : embrasse moi
Appolon : avec plaisir, chérie
Arès : on est toujours là
Harryse et appolon : on sait *en rigolant*

On arriva au lycée, les autres sortirent de la voiture pour nous laisser seuls.

Appolon : bon, il faut qu'on y aille
Harryse : oui *tristement*
Appolon : elle va être longue la journée
Harryse : très

Il m'embrassa fougueusement,et je répondis avec la même intensité. 

Appolon : il faut vraiment qu'on y aille *entre deux baisers*
Harryse : pas envie *toujours entre deux baisers*
Appolon : moi aussi mais il le faut *en arrêtant de membrassait*

Il descendit de la voiture et vient m'ouvrir ma portière. Et nous nous dirigeames vers les autres, tout à coup de senti son bras se posait sur mon epaule.

Arès :c'est bon vous avez fini de faire des bébés *en rigolant*
Aphrodite : très subtil *en me voyant devenir rouge et gênée*

Et si les dieux étaient au lycéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant