Chapitre 14: Choquée.

38 2 0
                                    


PDV de Nathan :

Voilà plus de trois semaine que ma Princess' a voulu s'offrir à moi, et oui je l'ai bel et bien arrêter dans ses plans, non que je n'ai pas envie d'elle et que l'idée de pouvoir admirer chaque parcelle de son corps accepter mes caresses ne me mettent pas fortement en joie. Mais je sens la vie reprendre sa place auprès de moi et je ne veux pas qu'elle m'offre ça sans savoir dans quoi elle s'engage, à quoi elle devras faire face, je ressens bien ses sentiments pour moi parce que dès lors que je la regarde ce n'est que l'exact reflets des miens qui sont encrer à ses prunelles.
Je préfère lui laissé la possibilité de se défaire de moi à tout moment de m'oublier et de me laisser seul avec le temps, afin qu'elle puisse être heureuse.

Alors que je marche dans ces couloir dénué d'espoir et de vie malgré les couleurs vives que l'on a essayé de placé sur les murs et les portes d'entrée des différents services, l'ambiance de l'hôpital est toujours bien présente. Ma mère m'attend au service endocrinologie avec le médecin qui a découvert après quelques uns de mes malaises ma maladie, et qui est désormais en charge de moi.
Ma mère, elle, fait de son mieux pour trouver de l'argent malgré que nous n'ayons jamais manqué de rien les différentes opérations et le traitement nécessaires à ma guérison, coûte le salaire que ma mère gagne en une année et ça seulement pour les deux première années qui n'inclut que deux opérations sur les trois demandé, et une partis en cinq stade du traitement. J'ai poster ma voiture en vente sur EBay pour alléger le poids sur ses épaules, elle vaut déjà 4 mois de salaires que je m'étais démené de gagner durant 2 ans pendant les vacances d'été, mais qui serviront du coup à payé une partie du traitement.

Je vais en parler à Elia, elle a le droit de savoir mais j'attend de voir si la vente de ma voiture laisse place à assez d'espoir.

Deux semaines plus tards...

Il y a deux jours la sonnerie de mon téléphone m'as fait sortir d'une grasse-matinée, et alors que je m'apprêté à insulter la personne me réveillant un dimanche, une voix sortie avant la mienne du combiné se présentant comme un acheteur potentiel d'une voiture que j'ai mis en vente sur internet.
Cette nouvelle qui m'as tout d'abord fait m'exciter puis redescendre sur terre en me disant qu'il allait forcément m'en proposer la moitié du prix comme tout les autres avant lui, mais il m'annonce juste qu'il désire l'essayé avant de l'acheter et que d'après les photos il était très emballé par la propreté de la voiture et qu'il apporteras tout de même la moitié de la somme en liquide et l'autre partie en chèque au cas où il désire réellement l'acheter.

Cette entrée d'argent serait vraiment la bienvenue, ce serais déjà cela de payé.
Je me dirige vers la salle de cours d'Elia j'ai finis il y a une heure mais le mardi elle finis plus tard et je préfère l'attendre, alors je vais directement la chercher devant sa salle de cours.

Quelques minutes plus tard la sonnerie retentit et les premiers élèves ouvrent déjà la porte pour sortir alors que là professeur n'a pas encore finis de parler -un peu comme moi quoi- entre les têtes des élèves je peut voir Elia en train de rangé ses affaires et de rigoler avec son voisin Thomas je crois. Je ne l'aime pas du tout celui la, il est tout le temps avec elle, et même si elle essaye de me rassure en me disant qu'il ne s'intéresse pas à elle, je ne lui fais pas confiance. Elle ne se rend pas compte à qu'elle point tout le monde s'intéresse à elle, malgré qu'elle soit discrète.

Ils sortent enfin, et dès qu'elle me voit elle m'offre un grand sourire, son ami me sourit également mais je ne lui rend pas, ce qui fait levé les yeux d'Elia aux ciels .

"- A demain Théo. " lance-t-elle en souriant -ah ben non c'était pas Thomas. Il l'a salut également, avant de s'en allait.

"- Comment tu vas, mon jaloux préféré ?" Me demande-t-elle, en me prenant la main et marchant jusqu'à ma voiture.

"- Je suis ravi de savoir que je suis ton préféré mais je suis pas jaloux." Dis-je en l'embrassant possessifement dans le cou. Elle se met alors à rire, ce qui me fait sourire comme d'habitude.

J'ai prévue de l'emmener dans le centre de Paris, dans un bar qui ressemble à une boîte, mais c'est un bar. Je nous y emmène directement parce qu'il est déjà 18h30 et qu'on met à peu près une heure pour y aller, surtout pour se garer, et comme ça on pourras manger.

Pendant le trajet quelque chose me revient en mémoire, alors je lui demande:

"- Comment tu as fais pour convaincre ton frère de dormir dehors?"

"- Je lui ai dit que je dormais chez Théo." Elle me répond comme si c'était la chose la plus normal du monde.

"- Attend quoi ? Et il a dit oui ? Il veut pas que tu dormes chez moi, ton copain au passage, mais chez Théo il y a pas de problème!"

"- Il sait très bien que Théo ne me feras jamais rien. "

"- Ah parce que moi je peut te faire du mal genre ? Mais c'est n'importe quoi !"

"- Il n'as pas dit que toi tu me ferais du mal, il est juste plus comme toi que comme Théo, du coup apparement d'après lui, il sait ce qu'il y a dans ta tête."

"- Et qu'est ce qu'il y a de dangereux dans ma tête?!" Je continue énerver ne comprenants pas ce qu'elle veut dire, enfin son frère du moins.

"- Nathan calme toi je t'ai dit qu'il ne pensais pas que tu me ferais du mal ou que tu étais dangereux, il veut dire que l'on pourrais faire ce que font les gens qui sont en couples."

"- Tu veut dire qu'il a juste peur qu'on fassent l'amour ? Tu devrais lui dire que c'est moi qui veut pas qu'on le fassent ça le détendrais sûrement."

"- Dans tes rêves, je parle pas de ça avec mon frère!"

"- Au faite trente secondes, ça me dit toujours pas pourquoi Théo et pas moi ?"

"- Théo ne pense pas du tout à des choses comme ça du coup ça le rassure."

"- Mais moi non plus je pense pas du tout à des choses comme ça!" Je lui dis en m'énervant un peu, alors qu'elle me regarde droit dans les yeux jusqu'à ce que je me tourne pour la regarder, elle a un sourcils en l'air, comme pour dire: "Tu te moque ou c'est comment ?"

"- Ouais bon peut être un peu de temps en temps, mais Théo aussi il n'est pas à part." Je lui cède en me concentrant sur la route, énerver, contrarié et boudeur.

Quelques minutes plus tard je sens une petite main passer dans mon cou et me gratter doucement la nuque:
"- Mon coeur, il est gay."

Je me retourne alors vers elle et je vois à son demi sourire qu'elle dit la vérité, et là j'ai envie de lui hurler dessus de pas me l'avoir dit plutôt mais j'adore sa bouille, alors je souffle d'exaspération et aussi j'avoue de soulagement.

Le combatOù les histoires vivent. Découvrez maintenant