Tic tac, tic tac... Toujours ce bruit. À la même heure, au même endroit. À 23 h 55 dans les toilettes. Il n'y a pourtant aucune horloge dans cette pièce, étrange.
J'en ai parlé à mes proches, ils m'ont dit que j'étais folle, personne ne me comprend.
Personne ne comprend mon envie de tuer, ça mets vital. J'entends tout les jours ce bruit incessant, il me pousse à tuer, à commettre ces meurtres, dont je me délecte.
Ce sang qui coule sur mes mains quand je poignarde ma victime, ces hématomes que je créer sur la peau de la violentée. J'adore entendre ces cris de panique, ces pleures, sa voix tremblante qui me supplie de l'épargner. Son regard une fois qu'elle est morte, ce regard vide, sans une lueur de vie.Je me cache dans la société, travaillant dans une agence de voyage. Les cheveux noirs, les yeux verts, la peau claire. Maquillée pour cacher les cernes qui entourent mes yeux.
Je ris avec mes collègues, parle avec mes "amis", je rends visite à ma famille, comme toutes les personnes de ce monde.
J'ai déjà commis plusieurs meurtres, plus horrible les uns que les autres, le prochain sera un classique. Dans une ruelle sombre j'irai poignarder ma proie, cette personne sera une inconnue, prise au hasard, comme dans un paquet surprise.
Homme, femme, enfant, personne âgée, peu importe tant que je peux me vengé de ce monde dans lequel je vis.J'avais finis ma journée de travail, j'étais rentré chez moi, j'avais déposé ma veste sur le porte-manteau qui ce trouvait à l'entrée. Mes chaussures, je les avais jeté dans le salon, je m'étais douché, avais mangé un yaourt et m'étais assise sur ma chaise de mon bureau. Sur l'un des murs de la pièce ce trouvait les portraits de toutes mes victimes
Les petites photos, étaient rayées, poignardées de punaises. Le marker rouge était posé sur mon bureau, débouché, une bouteille d'eau minérale sur l'une de mes tables de chevet.
Cette nuit sera la bonne, c'est cette nuit que je vais assouvir ma vengeance. Pauvre victime, elle hurlera comme les autres auparavant. Elle hurlera de terreur, d'horreur, elle versera peut-être des larmes, me suppliera-t-elle ? Je n'en sais strictement rien. Je sais seulement qu'elle mourra dans une ruelle poignardée.
Je me préparais, m'habillais d'une tenue noire, pull à capuche surmonté d'une casquette noire, jeans et chaussures noires.
Je sorti et pris au passage l'une de mes lame de combat, lames que j'avais le droit de garder puisque je pratique ces arts. Elle était dissimulée dans la manche de mon pull, prêt à être dégainée.
Je marchais sûrement dans la rue, nous étions samedi, les étudiants devaient sûrement faire la fête à l'heure qu'il était. Je vis une jeune fille sortir de la boîte de nuit, elle était ivre, elle ne marchait pas très droit, elle fit signe de la main à l'une de ces amies, celle-ci lui renvoya le même geste avec un magnifique sourire. Ma proie continuait d'avancer en direction d'un square, elle longea plusieurs ruelles.-"Mon plan est parfait" pensais-je.
Je l'avais suivi, discrètement, marchant à pas de loup derrière elle. Elle s'arrêta, se retourna, et poussa un petit son aigu en s'apercevant qu'elle était suivie.
-"Que, que voulez vous ?!
-Je ne veux rien, je passais seulement par là. Lui lançais-je avec un sourire carnassier.
-Oh... Veuillez m'excuser... Je ne voulais pas vous agresser, mais comprenez moi, j'ai peur d'être tuer dans une rue, dans que personne ne me voit, ne m'entends.
-Je comprends tout à fait, j'ai moi aussi peur que ce genre de scénarios m'arrive. Lui disais-je tout en m'avancant vers elle. C'est pour cela que c'est moi qui agresse les autres, comme ça, je couvre es arrières."
J'étais juste à côté d'elle quand je venais de prononcer ces mots. Elle est regarda, vit la lame sortir de ma manche, et dans un ultime hurlement elle prit la fuite, elle me fuyait, mais j'étais rapide, elle était en robe et talons aiguilles, difficile pour elle de faire sachant que son agresseur portait des baskets et un jeans. Dans sa course, elle hurlait, elle appelait à l'aide, ne voulant pas me faire repérer, j'accelerais mes enjambées, plus grandes, plus rapides. Je l'avais rattrapé. Elle se protégeait avec ses bras, ces petits bras maigrichons.
D'un geste violent et assuré, je lui bloquais la respiration, l'étranglant jusqu'à ce qu'elle suffoque, ses mains s'était réfugiées dur mon poignet gauche, celui-ci serrait de plus en plus son cou. Je levais mon bras droit, quant à celui-ci, il tenait le poignard, et dans un élan il vint d'enfoncer dans sa joue, puis toujours avec la même rapidité il vint à ce niché dans son ventre, dans sa poitrine, ces jambes, ces mains, sa hanche gauche.Des mains s'étaient desserrées, elles étaient tombées le long de son corps. Elle était morte, un filet de sang sortait de sa bouche, son regard était vide, il n'y avait pas eu de larme lors de l'agression, elle n'avait pas pleuré, je n'avait pas non plus entendu de hurlements, elle était allongée sur le sol dans sa robe rose, son chignon s'était défait, des mèches s'échappaient de celui-ci.
Une marre de sang ce formait, tâchant sa chevelure d'or et sa robe de soirée, celle-ci devenait rouge, c'était un rouge sombre.
Je le relevais et rentrais chez moi comme ci de rien n'était, les seules choses qui avaient changé étaient le fait que que j'avais tu m'a proie, et que grâce a cet acte je souriait pleinement.
Une fois arrivée chez moi, je déposais mes affaires dans les rangements de ma chambre, l'arme fit expédiée dans l'évier, du sang coulait toujours sur la lame. Je l'avais laissé tel qu'elle était. Je m'était déshabillée et avais sauté dans mon lit, entamant une bonne nuit de sommeil, rêvant de mort plus horribles les unes que les autres.
Cette nuit là, l'horloge invisible était silencieuse, elle ne perturba pzs mon sommeil.
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Horrorland
HorrorLes gens sont normaux, du moins c'est ce que vous croyez, mais mefier vous de votre entourage, les apparences sont trompeuses. Votre temps est compté. Le temps n'est qu'un repère pour nous, il ne fait que nous indiqué le Nord, il nous indique le pré...