Comtes et légendes enchanteur

Le dragon et le chevalier

(Bonjour/Bonsoir tt le monde, navré de cet immense retard, mais certains... changement dans ma vie sont apparus, retardant la sortie. Sur ce, que va faire notre chevalier en déuétude?)

Le chevalier hésita à entrer dans cette grotte, sachant qu'un dragon l'y attendait et qu'il n'était ni armé ni protéger. Il resta un moment devant l'entrée jusqu'au moment ou une voix l'invita à entrer.

"Entrez, chevalier Porteur de malheur. Votre visite a était des plus retardées."

"Je n'entrerais point, sachant que je ne suis ni armé ni protéger, dragon !"

En entendant la réponse du chevalier, le dragon sortit de sa grotte et fit face au chevalier. Ce dernier vit à quel point il avait sous-estimé la taille du dragon et fut pris de tremblement.

"Vous n'avez aucunes raisons d'avoir peur de moi, chevalier. Je ne vous veux aucun mal, à l'extérieur ou à l'intérieur de ma demeure. Je désire simplement vous parlez."

"Eh bien... de quoi voulez-vous parlez ?"

Le grand dragon blanc se mit à rire. "Je pourrais vous parlez de chaque arbre, villageois ou animal vivant dans cette forêt et ces plaines. Je vis ici depuis des millénaires, jeune ami. Mais je ne pense pas que le nom des arbres vous intéressent, non. Vous êtes venus ici pour me tuer, n'est-ce pas? Eh bien, tenez."

Le dragon donna au chevalier une arme du nom de Vorpale. Le monde entier sait que les armes Vorpales sont les rares armes pouvant tuer un dragon. Le chevalier prit l'arme dans ses mains. Elle était légère comme une brise et chanter dés qu'on la maniait.

"Eh bien, bourreau de dragon, fait donc ton office. Et tu seras récompensé, toi et tes générations futures pour l'exploit de m'avoir tué." Dit le dragon en mettant sa tête à disposition du chevalier.

Le chevalier brandit son épée haut vers le ciel et alors qu'il abaissa sa lame, il s'arrêta. Comme prit d'un sentiment de danger immédiat, il recula, en titubant. Il fit tomber son arme au sol et tomba au sol.

"Sal dragon... Quel sort m'as-tu jeté ?!!"

"Moi ? Je n'ai rien fait, Porteur de malheur. Ce que tu ressens, c'est ta conscience. Je n'ai rien à voir avec ce qui se passe à l'intérieur de toi en ce moment."

"Comment ma conscience pourrait-elle me jouer des tours?! J'ai déjà occi des dragons avant toi, monstre ! Et ma conscience ne m'a jamais joué de tours !!"

"Ta conscience a tendu l'oreille aux supplications des habitants. Regarde par toi même. Ils sont aux prises avec ces bandits."

Le chevalier se dressa et regarda en direction du village. Les brigands avait fait leur raid. Ils étaient en train de mettre le village à feu et à sang. On voyait les maisons brûler et les hommes se faire tuer depuis la place du dragon.

"Fais quelque chose, dragon !! Défends les !!"

"Non, je ne le ferai pas."

"Mais, pourquoi ?!! Tu les défends depuis des siécles et des siècles!! Pourquoi est-ce que... tu..."

Le chevalier commença à réfléchir.

"Que t'arrive-t-il, ami ?"

"Qu'est-ce que... Qu'ai-je fait pour vous mettre en colère, dragon ?"

Le dragon ricana et sourit en même temps. "Tu as interrompu une danse protectrice. Chaque mois, je danse afin de rendre hommage à la nature qui me parmet de manger, de boir et de vivre dans ses bras. Avoir interrompu cette danse m'a donc privé des bienfaits de la nature ainsi que de mes pouvoirs. Je ne peux plus rien faire si ce n'est attendre le jour de mon retour parmit la nature. Si tu me pensais responsable du sort de ces villageois, tu t'es fourvoyé. Tu es le seul fautif, Porteur de Malheur."

(Suite au prochain numéro ;) Promis, il viendra plus vite que celui-ci)