L'influence Du Sexe

Chapitre9, L'appart

PDV de Ambre:

La façon dont il avait parlait nous avaient arrêtait aussi tôt.
Pierre le regarde, sans comprendre, comme moi et Agnès. Que s'était il passait ?

Agnès : Venez finir la soirée avec nous, on va pas ce coucher maintenant.

Moi: Oui bonne idée.

Pierre n'osait rien dire.

Antoine: Bon d'accord

Il avait reprit son air de d'habitude et sa voie était joviale. Tout les 3 étions surpris.

Pierre: Allez!

En sortant du bar je fais un signe à Silice pour lui signifier qu'on part, elle me répond par un signe qui voulais sûrement dire ''j'arrive bientôt".

Arrivé à l'appart on décide de faire un jeu d'alcool. On avait commencé à jouer depuis bien 30 minute quand
Pierre, qui avait déjà bien bu, trouva le prétexte de devoir '' me dire quelque chose '' pour que je le rejoigne dans ma chambre.

Moi: J'y vais, pas trop de bêtises quant on est pas là hein!

J'arrive dans la chambre Pierre me tire par le bras, me soulève et me plaque contre la porte qui ce referme. Il m'embrasse, me fait des bisous dans le coup sans que je puisse répondre. Il m'allonge sur le lui, ce déshabille, j'en profite pour faire de même. Il ce met sur moi, m'embrasse tout le long tu corps, s'arrête sur mes seins avec lesquels il joue. Puis, retire une main pour la descendre vers mon clito et ensuite mettre un doigt dans mon vagin.
C'est exquis, c'est doigts sont magique, sa bouche est chaude. J'aimerais gémir, mais ils sont à côté, malgré tout je n'arrive pas à en retenir certains.

Avant qu'il finisse je me lève pour que la situation soit inversée. Je me retrouve donc sur lui, les jambes écartées, ma chatte à proximité de sa bite, je sens son gland qui est brûlant et gonflé, j'ai tellement envie de l'introduire en moi, et je vois que lui aussi à envie. Mais je préfère nous faire attendre, pour que le désir augmente encore, après tous on à toute la soirée et, Agnès et Antoine finiront bien par comprendre qu'on ne reviendra pas.

Je descend donc vers sa verge, anormale grosse, j'approche ma bouche de son gland et le lui lèche tout en lui massant les couilles, je le regarde dans les yeux, je vois qu'il ne peut plus attendre, c'est trop bon. Puis j'introduit sa bite dans ma bouche, Pierre lâche un gémissement de soulagement, je fait de longs et lents va et vient, il gémit doucement, ce qui m'excite de plus en plus.

Il sort sa bite et me dit:

Pierre: Vient j'en peux plus!

Je ne me fait pas prier, je lui enfile un préservatif et m'empale sur sa bite extrêmement grosse, c'est hyper bon, j'ai la sensation d'être remplis. Je me retire un peu, et fait de petits va et vient uniquement sur son gland pour le rendre fou, et d'un coup je l'insère violemment en moi, on ne peut s'empêcher de gémir tout les deux à cette action. Je reprend normalement, sa respiration et de plus en plus forte, ainsi que la mienne, je ne peux me retenir le plaisir est tellement intense.
On s'arrête tout les deux, on ce regarde dans les yeux, je sourit, il sourit.

Il ce retire, jette la capote et enfile son t-shirt et son caleçon.

Pierre: Je peux allez à la cuisine chercher quelque chose?

Moi: Bien sur.

J'entends la porte d'entrée s'ouvrir et une voie d'homme qui chuchote, ça c'est Silice qui est rentrée. Puis les deux jeunes personnes ce diriger vers la chambre de Silice, heureusement que cette maison est un minimum isolé.

PDV de Agnès:

On avez attendu 5 voir 10 minutes avant de comprendre ce qu'il ce passait.

Moi: Je vais dans ma chambre, tu vient avec moi?

Antoine: Je vais chercher quelque chose dans ma veste et j'arrive.

Super, j'aurais le temps de me préparer, je me déshabille et enfile donc une paire de bas, je m'allonge sur le lit et l'attends.

Arrivé dans la chambre, il ferme la porte, me voit, m'observe, à ce moment je remarque un légère bosse au niveau de son entre jambes. [Au moins je l'excite], il défait ses vêtements et me rejoint.

Je n'avais encore jamais vue sa bite, je l'avais bien sentit, mais je ne m'étais pas demandé comment elle pouvait être. Elle était de taille moyenne, épaisse.

J'étais très excitée et je pense que lui aussi mais il paraissait absent, comme si quelque chose d'autre le travaillait.

Comme il restait là, sut le lit, sans rien faire, je décide de prendre les choses, enfin, la chose en main et commence à le branler doucement avec ma main. Il ferme les yeux, il apprécie, après quelques minute, je met ma langue sur son gland et tourne autour. Il paraissait plus détendu qu'au début.

Il ce lève, j'enlève mon string, me met à quatre pattes et l'attends, il prend du temps, sans doute avait t'il du mal à mettre la capote. C'est bizarre avec lui, tous ce qu'il fait est inattendu, il ne dit rien, on doit deviner ce qu'il veut.

Il s'insère enfin en moi, sans prévenir. La sensation n'est pas la même que celle du bar, peut être que l'adrénaline rendait ça meilleur. Là, même en me baisant il semble préoccupé, je lui fait donc si peut d'effets ? C'était bon mais... Bizarre pourquoi d'un coup avait il changé ?

Quand ce fut finit il ce retira aussi tôt, et s'allongea sur le lit, toujours ailleurs dans ses pensées. Je me mit à côté de lui et baladait ma main sur son torce.

PDV de Silice:

Pourquoi m'avait il servit autant de verres? Je n'étais plus moi même. Après tout c'était de ma faute, je n'avais pas réussit à me contrôler. En plus les filles étaient parties. Je ne me rappelle plus très bien du début de la soirée, mais pour l'instant j'ai atteint mon objectif, je suis avec le serveur, enfin je crois que c'est le serveur, je n'en suis pas sur. Mais quoi qu'il en soit j'ai trop bu, je distingue à peine le visage de la personne avec moi dans la chambre et je pense que ce n'est pas plus mal.

:Éteint la lumière.

Moi: Pourquoi ?

: Éteint la lumière !

Moi: D'accord.

Je n'ai pas la force de lutter. Je vais dans le lit, je suis nue, je me colle au jeune homme que j'appelle Henri sachant pertinemment que ce n'est pas son prénom mais il ne me reprend pas donc tanpis. Donc je suis collée à Henri qui ne bouge pas d'un poil. [Mais putain! Je l'ai pas invité pour dormir], d'ailleurs es ce que je l'ai invité? Wouah je suis dans un état beaucoup plus méchant que je ne le pensait.

Moi: Henri?

(Henri): Hum?

Moi: Tu fait quoi ?

(Henri): Rien en particulier et toi?

Je lui dit ou pas? J'ai pas le temps de réfléchir, les mots sont déjà partit.

Moi: J'attends patiemment que tu me baise!

(Henri): D'accord.

Et il ne fait rien !! Je ne sais pas ce qu'il ce passe, je pue, je le rebute? Mais qu'es qui cloche?
J'abandonne, de toute façon de suis aussi fatiguée. Si il peut partir pendant la nuit ça m'arrangerais, mais ne lui en demandons pas trop, ce pauvre Henri est.... Je ne sais même pas!

Au cours de la nuit je me réveil, la gorge sèche, j'ai vraiment besoin d'eau. Je suis toujours dans un état second, loin violent tout de même que toute a l'heure. Je me retourne pour voir si Henri est toujours là, et je le voit en train de m'observer. Son visage! Je le connais!

(Henri): Alors on n'obéit pas?

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