Une idée pour le titre

hein ... ?

Il poussa un long soupir.

Allongé dans son lit, l'adolescent de 16 ans, Eric agonisait dans sa chambre. Chambre où une chaleur ambiante s'était installée pendant cet après-midi d'été.

Il était torse nu, la clime était allumée, il s'était servi trois cocas mais malgré ça il avait toujours aussi chaud. La transpiration coulait le long de son front et humidifiait ses allumageux. ("euh whaaaaat!!!" de justine)

La fatigue lui pesait mais impossible de dormir par cette chaleur.

Alors que faire ?

Dehors, les températures grimpaient en flèche et tout les habitants étaient cloîtrés chez eux, et puis de tout façon il n'y avait pas grand monde dans cette petite ville. Mais pas beaucoup de gens, disait pas beaucoup de chose à faire. En effet, la première boulangerie était à 30 minutes à pieds, alors imaginez ! Le cinéma le plus proche se trouvait dans la ville d'à-côté, enfin "à côté" voulait dire à une centaines de kilomètres.

Il y avait qu'une minuscule supérette pour toute la ville et celle-ci ne vendait que des friandises, et .... Des glaces ! Mais oui, pourquoi n'y avait-il pas pensé plus tôt ?

Éric se redressa brusquement, enfila un t-shirt et sortit de chez lui laissant sa mère et son père eux aussi à moitié mort dans le salon avec ses sous et son portable.

Mais à peine avait-il mis un pied dehors que la chaleur s'abattit sur lui. Il ne se découragea pas et entreprit une longue route jusqu'au paradis mais qui ressemblait plus au chemin de l'enfer.

La chaleur étouffante et le silence pesant ne faisaient que compliquer la tache.

Il marchait, marchait jusqu'à en oublier comment faire quand il aperçu au loin la petite supérette coincé entre deux maison.

Oooouuuiiii ! Il arrivait en terre promise ! Il rassembla ses dernière force, s'imaginant déjà croquer, lécher, sucer cette... Glace, dont il rêve depuis ce qui lui semblait des heures.

Alors qu'à peine quelque pas le séparait de sa friandise, il s'arrêta brusquement. Un frisson glacé lui parcourut l'échine, malgré la température infernale qui régnait autour de lui.

Derrière la vitrine de l'épicerie, dans l'ombre, deux yeux rouges brillaient. Un petit diablotin vert venait d'apparaître, pas plus haut qu'un lutin de jardin, avec une longue queue et une bouille pleine de sucre fondu. Éric tomba à genoux. Non ! Ils étaient revenu !

5/6/2016 1:34 putain laissez moi mourir ! Je me meurs, je me meurs, je me meurs ...

Je nomme starduster273 pour écrire la suite, bonne chance !