Chapitre 2 : la surpprise

54 4 0
                                    

Lorsque la sonnerie annonçant la fin des cours retentis , Héloïse se précipita vers la sortie sans un regard pour Andrée . Cette-dernière inquiète décida de la suivre à pas de loup , se cachant lorsque Héloïse se retournait . Pourtant à un moment donner cette dernière s'arrêta car son téléphone venait de sonner et elle décrocha , Andrée se rapprocha pour pouvoir l'écouter , "la fin justifie les moyens " se dit elle pour faire taire ses scrupules . Elle reconnut la voix d'Éric le petit ami d'Héloïse :

- Quoi Éric ? Demanda cette dernière

- Salut je vais bien merci et toi ? Pourquoi tu es distante avec moi depuis quelque temps ? Je n'ai même plus le droit de t'embrasser !

- Parce que j'en ai marre . Je ne veux plus être avec toi . Lui répondit elle froide comme la glâce

- Mais pourquoi ?

- Toi et moi on est pas pareil , et puis tu t'en fiche de moi , je me suis battu contre tous par amour pour toi et toi tu t'en fiche comme de ta première chemise , tu viens que quand tu te sens seul ou que tu t'ennuie

- je suis désolé Héloïse je te jure que je vais changé ...

- non c'est trop tard . Maintenant oublie moi .

Et elle raccrocha , puis poursuivit son chemin ,Andrée continua à la suivre et se dit qu'Héloïse avait surement une autre raison pour quitter Éric comme sa , d'autant plus que ces explications lui paraissaient un peux beaucoup fumeuse . C'est le problème quand on connaît par cœur nos proches on voit tout de suite quand il dise des choses bidon . Elles arrivèrent vers l'orphelinat et passèrent un petit portail que Andrée connaissait car du temps où elle ne connaissait pas Héloïse elle faisait n'importe quoi , elle ne l'admettra pas publiquement mais Héloïse était la meilleure chose qui lui était arrivée , elle lui a ouvert les yeux , elle a été là même dans les moments les plus difficiles , elle lui tenait les mains lorsque le manque lui était insupportable ....elle regarda à un moment ses avant bras il n'y avait plus aucune marque de piqure or mi une en plein sur sa veine pour lui rappeler son passé. Elle secoua la tête et traversa la petite clairière puis arriva vers un cabanon apparement abandonner . Elle vit Héloïse sortir une petite clef de sa poche qu'elle inséra dans la serrure puis ouvrit la porte et entra dans le cabanon "que manigance-t-elle ?" Se demanda Andrée , elle prit une grande inspirations puis s'approcha du cabanon et entra à son tour . Elle ferma doucement la porte qui grinça un peu son amie avait du l'entendre car elle dit :

- Il y a quelqu'un ?

N'obtenant pas de réponse elle s'avança doucement prit une batte de baseball aux passage "on ne sais jamais il faut mieux se protéger" se dit elle . Andrée eu juste le temps de se cacher , elle retint un moment sa respiration pour éviter de se faire repérer . Héloïse regarda aux alentours et dit :

- sa doit peut être être un courant d'air j'avais oublié de fermer la porte !

Elle alla vers une sorte de traîneaux puis commença à faire les réglages nécessaire tandis que Andrée s'approcha un peux plus . Elle l'entendit Ronchonner :

- où se place se fichu file ? C'est pas possible d'être autant compliqué !

"Sacrée Héloïse " pensa Andrée en souriant même quand elle s'énervait elle était rigolote . Elle est tellement gentille que l'on ne la prends pas au sérieux et on rigole ... Aux bout de quelque minute elle la vit finir ces réglages puis s'installer sur le siège de Damas cramoisi tout en réfléchissant à voix haute :

- alors voyons voyons , la maladie de Marie-Adélaïde à commencer en 1712 puis exactement deux semaine après qu'elle est fêtée son anniversaire .

Et pendant qu'elle réglait le compteurs Andrée se dit que c'était le moment où jamais ! Elle s'avança doucement , puis s'assit sur le siège à coté d'Héloïse la regardant bidouiller son truc . Elle était vraiment belle ainsi mais toute Bonne chose avait une fin et elle décida de se signaler par ces mots :

- Surprise !!!!

Héloïse sursauta et dit en faisant les gros yeux :

- Que fait- tu ici ?

- Je t'accompagne !

- et pourquoi ? Je n'ai besoin de personne .

- et bien moi si j'ai besoin de toi et je ne supporterai pas de t'attendre un temps indéfinis . D'où me viennent ces parole ? Je ne sais pas j'ai laisser parler mon coeur à mon avis . Héloïse me regarda tendrement et me dit :

- et moi aussi j'ai besoin de toi , je commençais déjà à être triste de devoir te laisser ...

- réjouis toi alors mi querida je viens avec toi . Eh oui j'ai des origines latinos et parfois elles ressortent

Elle me sourit les yeux embuées de larmes et je la prit dans mes bras. Après quelques minutes je lui fit un bisou sur la joue et lui dit :

- Allez démarre j'ai hâte de découvrir cette époque !

Je posais ma tête sur son épaule et elle passa son bras autour de moi puis posa sa main sur ma taille j'aimais bien nos moment tendres , ils m'étaient si doux je Luis murmurais "te quiero" , elle me répondit "te quiero tu" .
Et elle démarra c'était partit pour le siècle de Louis XIV et je suis certaine que l'on allait bien s'amuser pour ma part j'avais hâte de découvrir les modes de vie de la cour à cette époque pour pouvoir me faire ma propre opinion et passé plus de temps avec mon Héloïse .

Dans les couloirs du temps ... (Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant