Chapitre 4 Nous sommes suivis !

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Depuis la poubelle qui est tombée nous avons la sensation d'être suivis c'est pour cela qu'on part s'abrité dans une cave d'un immeuble. On s'endort cote à cote. Le lendemain je me réveil j'étais tout seul Caro n'était plus là je me demande ce qu'il y a sur ma tête et j'ouvre le sac qu'on avait pris hier soir pour mettre nos habits, nos chaussettes et deux pistolets qu'on avait trouvés dans le bureau d'Anthony. Il ne reste plus qu'un pistolet sur les deux, je sors de l'immeuble et je part avec un vélo d'un petit garçon qui était sur le trottoir le petit était a la boulangerie j'en n'ai profiter pour le prendre mais manque de chance il me voit et serais capable de redire mon visage car je me suis retourné et il m'a vu. Le soir je revient dans la cave et je croyais qu'allais revenir mais Caro n'est pas revenu je commence a pleurer et j'entends trois personnes qui marchent ils parlent. Je regarde par la boite au lettre qui se situe dans la porte et là je voie Caro, un homme et le petit garçon qui était pistoletboulangerie ce matin je me cache et là j'entends où habitez vous et caro répond ici là je sais qu'ils veulent quelque chose sur moi je me dépêche de prendre le pistolet et la l'homme ouvre la porte il me met un pistolet sous le nez mais moi j'en un très bon réflexe je prend le petit garçon et il me tire dessus mais heureusement j'ai baissé la tête sans faire exprès et là je lui tire une fois dans la jambe je prend le sac je prend la main a caro je ferme la porte enfermant l'homme et le petit garçon et nous nous partons avec le vélo du petit garçon je lui demande "pourquoi il veulent ma mort. C'est que pour le vélo?" Elle me répondit "Non il ma dit que tu dois subir et tu subi déja depuis que tes parents sont partis". "Comment il le c'est que mes parents sont portés disparus? Je sais !! Est ce qu'il avait des personnes enfermés avec toi?" "Oui une dame très gentille et un homme très gentil aussi" Je lui répondit " Caro c'est mes parents il ta enfermés où ?" Elle me dit qu'elle emmène avec le vélo. Une demi heure plus tard on arrive devant une usine en ruine et là elle me dit " C'est bon je suis sur que c'est là!"
Suite dans le prochain chapitre ...

La Tristesse Des ResponsabilitésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant