Troisième battement

17 0 0
                                    

Saccader, le souffle cour, le cœur lent, et dépourvue d'amour.  Elle n'était pas revenue, et l'ambulance était partie sans que je ne l'ai aperçu pointer le bout du nez. Elle n'était pas venue me voir à l'hôpital non-plus... Je pensai que ce baiser signifiai quelque chose. Pour moi il en avait, mais maintenant, je me demande si ce n'était que l'envie et le désire de l'expérience? En tout les cas, j'aime les filles, mais Cass, non.

Peut-être... Non! Elle ne t'aime pas! Oublie là! Oublier...

knoc! knoc! knoc!

"C'est qui?" demandai-je tapie dans mon lit, le maladie que je portais en moi les obligeais à me garder au moins deux nuit pour être sure que mon métabolisme était en bon état.  

" C'est Jordan, laisse moi entré petite sœur!"

Je ne dit rien, et au bout d'un moment, j'entendis le déclic de la pogner et le lège grincement de la porte, le claquement de ses soulier sur la céramique et le cliquetis des fermeture éclaire sur son sac de guitare... Il était vraiment obliger de l'amener?!  Je lui fit face. Ses long cheveux tombaient en vague sur ces épaule et semblais ne pas avoir été brossé ce matin. Ses joue était rouge tomate et je pue apercevoir, quand il enleva son gilet, quelque tache rouge qui tourne presque au mauve sur certaine. Je tendis ma main vers lui, il s'approcha alors et s'installa sur le bord du lit d'hôpital. J'effleurai son cous. Il rougie.

"Qui ta fait ça! " dit-je sans savoir si j'étais amuser par la situation ou dégouter.

Il ricana.

"Oh! Ça, vraiment, merci de m'avoir présenté Cassandra!"

Je ne sue pas quoi répondre, mon cœur venais d'être piétiner, détruit à coups de marteau, mon monde venais de s'écrouler. Je me mie à pleurer, et supplié Jordan de me dire que c'était une blague, qu'elle ne s'était pas foutue de moi! Mais non...  Aucun espoir... Je me mit à marteler le lit et finalement, carrément lui, de coups de poins. Je lui lançai mon oreiller à la figure. Jordan l'attrapa au vol et et me l'écrasa sur la poitrine, il me prit par les épaules et me cala dans la tête de lit.

"Calme toi! Je ne savais pas que tu l'aimais! Je ne savais pas que tu aimais les filles! J'en savais rien alors calme toi! Pleur et crie si tu veux mais ne te fait pas mal!"  Me cria-t-il en me serrant fort les épaules, trop fort.

"Tu me fait mal." Dit-je d'une voix étouffer.

"Et puis qu'est-ce que ça change si je me fait mal! Je vais mourir! JORDAN! C'est pas une «joke», regarde moi pas comme ça... Je t'en prie!" Je ne m'était pas rendue compte que je venais de déroger à la règle. LA SEULE! Et je n'étais même pas foutue de la respecter! Je me dégoute...

Les yeux ronds, la bouche ouverte, sa prise sur mes épaule se desserrait lentement et je pouvais presque entendre les question affluer dans sa tête!

"C'est pour ça... Ça?" Dit-il en me regardant en robe bleu d'hôpital et les murs blanc crème, suivie d'un petit signe vers toute les machines au tours de moi.

Pour toute réponse je hochai la tête en signe d'approbation; oui c'est pour ça grand tata! Tu pense que j'ai quoi? Une grippe? Pff...

"C'est quoi comme maladie? Il te reste combien de temps! Tu sort d'ici quand? Est-ce que tu mange bien? À tu besoin de quelque chose... " Je l'arrêtais toute suite, trop de question pour ma petite tête! 

"Okk! On se calme! Respire! Tu vois, c'est pour ça que je ne voulais pas que ça se sache, le monde pose trop de question restés sans réponse... On ne sait pas ce que j'ai, on ne sait pas je part quand, on sait juste que ça peu autant arriver demain que dans 6 mois, par contre je vais être chanceuse si j'ai plus qu'un ans. Il sont supposer me laisser partir demain mais rien n'est jamais sur ça dépend des tests. Comme tu vois je ne mange pas plus que d'habitude et non je nais pas besoin de mon doudou! Merci! " Débitai-je la mine déconfite mais sereine, j'avais finie par accepté le fait.

"Comment peux-tu être aussi calme en disant ça? "  Me demanda-t-il étonner de ne pas me voir plus triste que ça, moi qui avant, aimais tant la vie.

"À un moment je me suis rendue compte que le stresse n'aidait pas et me fessait faire des crisse comme celle que j'ai faite hier soir. Alors j'ai essayer de voir les bon côté... " Il m'interrompit dans mon beau "speech" .

"IL N'Y A PAS DE BON CÔTÉ À MOURIR! " Cria t'il, alors une infirmière vin nous demander de garder le calme. Sans cœur!

"Oui il y en a, pas beaucoup mais j'en ai trouver." Chuchotai-je espérant qu'il ne m'entende pas. Il faut croire qu'il a des oreilles de girafe!





Vous avez atteint le dernier des chapitres publiés.

⏰ Dernière mise à jour : Jun 29, 2016 ⏰

Ajoutez cette histoire à votre Bibliothèque pour être informé des nouveaux chapitres !

Tout Mon Temps.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant