Vous êtes déçue de ne plus pouvoir regarder les µ's parce que leur temps est apparemment terminé ? Je dis non, alors laissez vous transporter quelques années plus tard pour voir ce que sont devenues nos anciennes idoles préférées. On ne peux pas dir...
Un téléphone vibra sur le matelas, une main l'attrapa pour le déverrouiller, et le message s'afficha ou plutôt une photo :
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Un petit rire se fit entendre, l'appareil se verrouilla avant d'atterrir sur le lit, suivit d'un soupire lasse et d'un grincement de lit. Il faisait presque nuit dehors, c'était l'heure de dormir. Quelques heures plus tard, un réveil sonna mais il s'éteigna bien vite, une main s'était glissée dessus. Une personne se leva rapidement, ayant déjà la forme, elle s'approcha de son placard pour l'ouvrir et s'habiller d'une chemise blanche, suivit d'une cravate et d'un blazer, pour le bas se fut un slim, tout le reste de l'ensemble était noir, sans oublier ses talons et ses lunettes. Alors que la personne marchait vers une porte, elle revenue pour prendre son portable.
Quelques instants après, une porte se claqua, faisant virevolter de long cheveux blonds, sa tête regarda un peu partout avant de s'avancer vers sa voiture pour y entrer et démarrer. L'automobile déferla à une vitesse hallucinante dans la ville, grillant tout les feux et les stops. Une fois arrivé à destination, la jeune femme descendit de son véhicule pour entrer dans un énorme bâtiment qui semblait constituer que de bureau. En rentrant les femmes de ménages, près des portes automatiques, s'inclinèrent à l'entrer de cette dernière.
- Bonjour et bienvenue à vous Kitsune~sama.
La blonde esquissa un sourire en rentrant, enlevant ses lunettes de soleil pour les mater du coin de l'œil en marchant. Mais une voix féminine qui venait du bureau d'accueil un peu plus loin perturba ses actions, ce qui l'a fit même sursauter.
- Tu n'as pas finit de les reluquer ?!
La concernée s'avança jusqu'au bureau au fond de l'énorme salle, c'est à peine arrivée qu'elle se fit tirer par la cravate par la personne de l'autre côté du comptoir.
- Tu sais ce qui t'attend la prochaine fois que je t'y reprend. Alors garde sagement tes yeux a leur place.
La ''victime'' acquiesçait d'un hochement de tête malgré que son sourire était amusé. Leur petit tête à tête fut interrompu.
- Encore entrain de vous taquiner ? Vous n'avez pas finit ? -fit une première voix.
- Laisse les tranquille tu veux ? Ce n'est pas le moment. -en fit une deuxième plus assurée.
Il y avait une autre personne, en blouse, les mains dans les poches, elle ricanait discrètement a celle qui venait de se faire sermonnait pour son commentaire. La seconde voix continua :
- Eri, j'ai besoins de toi, rejoins moi dans mon bureau, après avoir finit. -Elle se retourna, faisant soulever sa veste sur ses épaules.- Quand à vous deux, vous pouvez disposer pour le moment.
- Bien, chef. -répondit la blonde.
Les deux concernées partit en vitesse, tandis que le chef partit en direction de son bureau a l'étage.Pendant ce temps, Eri reporta son regard sur celle qui la tenait prisonnière.
- Tu peux me lâcher s'il te plait, darling ?
La surnommée la lâcha en faisant la moue, ''touchée'', la jeune femme fit tout le tour du bureau pour s'asseoir a la place de la boudeuse, sur le siège de cuir avec un sourire.
- Tu ne vas pas encore bouder ? Tu sais très bien que tu es la seule sur qui je pose les yeux pour mater chaque courbe Nozomi ~
- Tu mérites que je te punisse à chaque fois que tu regardes ailleurs que ce que tu devrais regarder. non, j'ai même mieux, je devrais te crever les yeux, au moins je serrais sûre de mon coup ~ -La violette souriait sadiquement.
- Pourquoi aller tout de suite dans les extrêmes ?
Nozomi s'installa sur les genoux d'Eri, toujours avec son sourire aux coins des lèvres, posant une doigt sur les lèvres de la blonde.
- Parce que je suis toujours obligée avec toi ~ tu le sais pourtant..
C'est en ricanant que la blonde se rapprocha des lèvres de sa partenaire, mais le haut parleur retentissait, ce qui les fit se séparer.
- ERI DÉPÊCHE TOI !
L'appelée se releva, faisant attention à la violette, puis se dépoussiéra avant de courir vers les escaliers pour se hâter de rejoindre le bureau de son supérieur.
