☆ KPOP Imagines ☆

12. Jimin (BTS)

Nous étions en couple depuis six mois, malgré qu'on ne pouvais pas se voir tous les jours, on étaient heureux ensemble, et on se parlais tous les jours quoi qu'il arrive. Évidemment il y avait des hauts et des bas, mais jamais nous n'avions pensé à se séparer, tout simplement parce qu'on s'aimaient vraiment. Cependant sortir avec une célébrité n'est pas facile, tout le monde le sait, tout s'était bien passé jusque ici, personne n'avais rien découvert et nous étions tranquille.

Mais ce jour là, tout changea, un scandale éclata, et le pire c'est que la fille avec qui il sois disant sortait, n'étais pas moi, mais avec une chanteuse. Au départ je n'y prêta pas attention, même si dans le fond, j'étais un peu jalouse que les gens pense qu'il est avec elle. Mais au bout d'une semaine tout ça commençais à prendre le dessus sur moi, entre d'un coté les fans qui s'acharnaient contre cette fille, ou contre lui, et d'un autre coté, ceux qui les trouvaient mignons et qui se mettaient à faire plein de montage photo et vidéo et qui espéraient que tout cela soit vrai. Et moi j'étais entre les deux, j'avais confiance en Jimin, je le connaissais bien, je savais qu'il ne sortait pas avec Seulgi.

Mais plus les jours passaient et plus je doutais, après tout, ils étaient amis, ils se parlais des fois par messages, et quand ils pouvaient se voir ils rigolaient beaucoup ensemble. Je n'arrivais plus à faire confiance à personne, je ne savais plus qui croire, et Jimin le voyais, il voyait que je ne lui faisais pas entièrement confiance et il s'énerva, souvent, parce que lui aussi, toute cette histoire le blessais, certainement plus que moi. Nous devions nous voir ce soir là, j'étais venus à l'appartement du groupe comme à mon habitude. Les autres jouaient, se reposaient ou mangeaient, moi, j'étais avec Jimin, dans son lit, et comme à chaque fois depuis quelques jours, personne ne parlaient, à vrai dire, on ne se regardait même pas, on ne se touchait même pas. Il écoutait sa musique avec son téléphone, et je lisais un livre, sans pouvoir vraiment me concentrer, j'interrompis alors ce silence.

"Jimin-ah"

Il ne m'écoutait pas, toujours concentré sur sa musique, je lui enleva doucement son casque, mon but n'était pas de l'énerver.

"Jimin-ah, parlons"

"Parler de quoi? Du fait que tu ne me fais pas confiance?"

Et voilà, la dispute était repartit, mais aujourd'hui, je gardai mon calme et lui répondis en le regardant dans les yeux

"Je crois..Je crois qu'il est temps qu'on arrête."

Je vis dans son regard ce choque qu'il eu en lui, il n'arrivait pas à prononcer un seul mot, il me regardait seulement, perdant le contrôle de la situation. Étant donné qu'il ne répondis pas, je continua.

"Je te fais confiance, mais je ne peux pas m'empêcher d'avoir quelques doutes, et j'en suis désolé. Et regarde où ce scandale nous à mené, on n'arrive même plus à parler, c'est comme si l'on était déjà plus ensemble. Désolé Jimin."

Et je partis sans regarder en arrière, je pu pourtant deviner qu'il s'était levé précipitamment et m'avais regarder partir. Je traversa le salon avec tous les yeux des autres rivé sur moi, et lorsque je franchis la porte d'entrée, je l'entendis, je l'entendis crier mon nom en pleurant. Je fondis en larme aussi, car malgré tout, je l'aimais toujours, comme au premier jour.

-Eclipse d'une semaine-

Une semaine était passé depuis notre rupture, je ne faisais plus rien de mes journée, je n'allais plus à l'université. Mais ce soir là, mes amies m'avais forcé à sortir pour aller s'amuser, j'y était donc aller, ça m'avais changé un peu les idées, je me sentais moins déprimer, et je rentrai chez moi épuisé. Je pris l'ascenseur et m'arrêta devant la porte de mon appartement, il était là, assis sur le sol, la tête recroqueviller sur lui même, il m'attendait. Je le regarda quelques instants, puis il aperçu ma présence et se leva sans me lacher des yeux, ses yeux étaient rouge, il avait surement pleurer, je cassa se silence pesant.

"Qu..qu'est ce que tu fais là?"

"Je voulais te parler"

"Je suis fatigué" lui répondis-je froidement et ouvrit la porte de chez moi, Il m'attrapa le poignet

"Écoutes moi! S'il te plait, j'en ai pas pour longtemps."

Je le regardais dans les yeux, puis fixa mon poignet, il compris qu'il devait me lâcher, ce qu'il fit sans plus attendre, et je le fis entrer à l'intérieur, on s'assit sur le sofa et le lança directement sur le sujet

"Alors, qu'est ce que tu voulais dire."

"Je suis désolé, je..j'ai compris ce que tu ressentais, et peut-être que rompre était le meilleur pour nous deux, j'ai voulu soutenir ta décision, ne pas t'embêter et te laisser réfléchir, j'ai essayer de t'oublier. Mais..J'y arrive pas, quand je me lève le matin, tu es la première personne à qui je pense, comme tout les matins je regarde mon téléphone, mais je n'es plus tes messages qui me mettais de bonne humeur toute la journée. Lorsque je mange je pense à toi, je me dis que tu aurais bien aimé manger ça, où que tu n'aime pas tel chose, quand je suis fatigué et que je peux pas dormir je pense à toi, et réalise que je tu étais ma force, j'arrivais à faire face à cette fatigue parce que tu m'encourageais, et je ne dors plus même quand je suis crever, parce que je ne peux pas m'empêcher de penser à toi, au fait que tu me manques, que je ne t'aurais plus près de moi et ..et toutes les nuits je pleures parce que je t'aimes et que je veux pouvoir t'avoir près de moi. J'ai jamais été autant amoureux de quelqu'un que de toi Y/N, tu es la seule."

Il avait tout balancé, il avait les larmes aux yeux à la fin, il me regardait depuis le début, mais j'étais resté la tête baisser tout le long, je ne voulais pas qu'il me voit, je voulais pas qu'il voit que moi aussi je pleurais, parce que c'est exactement ce que je ressentais aussi.

"Y/N dit quelques chose.." hésitât-il

Je relevai difficilement la tête en essuyant mes larme, et le regarda dans les yeux

"Qu'est ce que tu veux que je te dise..Moi aussi je t'aime, pour moi aussi c'est dur, j'ai l'impression de ne plus vivre. Je..je pensais pas que ce serait aussi dur.."

"Alors arrêtons cette connerie, on souffre, tout les deux, à quoi bon être séparer si on souffre plus que lorsqu'on est ensemble...S'il te plait Y/N reviens près de moi"

Il me regarda dans les yeux, me releva la tête d'une main, et essuya mes larmes qui coulaient le long de mes joues, il s'approcha doucement et m'embrassa, le temps s'arrêta, mon cœur battait pour la première fois depuis longtemps maintenant.