<< Mon physique à changer ma vie >>

Partie 12

Je me sentais partir.
Je pensais à Yanis.

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J'avais mal à la poitrine, j'arrivais à peine à respirer.
Je fermais les yeux en espérant être soulagée.

Point de vue de Yanis

J'étais dans un bar avec des collèges de mon travail.
Je me suis ranger, j'ai trouver un poste dans une agence immobilière.

Vers 00:00 je décide d'envoyer un message à ma petite femme.

Après 20 minutes je vois qu'elle ne répond pas, je commence à m'inquiéter vu qu'elle m'avais dis qu'elle m'attendrais.

Moi- Les gars je rentre je crois que ma femme ne va pas bien

Ilan- C'est bon poto reste encore 10 minutes elle doit s'être endormi

Je décide de l'écouter, elle a l'habitude de s'endormir d'une minute à l'autre.

[...]

Quand je rentre chez moi il est 3h du matin, un peu plus.
Je traverse la résidence et monte chez moi.

Je vois que la porte d'entrée est ouverte et la lumière allumée.

Moi- Putain non non non non

Je vis Nora allongée par terre baignant dans son sang. Elle avait les yeux fermés.
Je regretter de ne pas être rentrer plus tôt.

Moi- Nora, Nora s'il te plaît ouvre les yeux me laisse pas je t'en supplie

J'ai décider de la porter jusqu'à ma voiture et l'emmener à l'hôpital.
Je fonce comme un fou, je slalome entre les voitures, grille les feu rouge etc.

J'arrive à l'hôpital avec Nora dans les bras.
Son sang continuait de couler, je m'effondrai par terre en criant

"VENEZ M'AIDER JE VOUS EN SUPPLIE"

Tout le monde me regardais.
Deux infirmières sont venu avec un brancard et l'ont mise dessus. Ils sont partis vers des couloirs, les portes se sont fermée et je ne l'ai plus vue.

Je suis restée assis dans le hall de l'hôpital, j'ai appeler Horia, la meilleure amie de Nora.
Elle m'a dis qu'elle arrivait dans la journée.

Je n'ai pas prévenue mes parents ils allaient trop s'inquiéter.

Les minutes passèrent.. Les heures..

Je pensais à qui aurait bien pu faire ça.
Mon déménagement à Londres aurait dû m'éloigner de tous ces problèmes.

Le jour s'était lever quand une infirmière vient me voir.

Elle- Vous êtes le compagnon de la dame qui s'est fait tirer dessus?

(Elle me parlait en français vu qu'on était dans un coin français)

Moi- Oui c'est moi, comment va t-elle?

Elle avait le visage désolé , je m'attendais au pire.