Chapitre 1

35 2 1
                                    

Ce matin, je m'étais levé comme chaque Samedi matin avec une gueule de bois et un mal de crâne terrible. Des bouteilles de whiskey et de vodka encombraient le plancher de mon appartement. Depuis que je étais revenu de la guerre, j'avais sombré dans l'enfer de l'alcoolisme. Pour oublier je suppose, mais les images revenaient chaque jours malgré tout. Je me fis un café noir et je rajouta du piment fort pour bien me réveiller. C'est ma recette spéciale contre l'alcool. Je me réveillais comme ça chaque matins, tout les jours étaient pareil. Sans vie et sans couleur. Je ne me rappelais même plus la dernière fois que j'avais souris.

Tout à coup le téléphone sonna, mais je répondis pas. Ça devait être un sondage. Le téléphone sonna encore. J'allai d'exploser contre le mur celui la! Bon je répondis finalement parce c'était peut-être important.

*au téléphone*

Moi: Bonjour?

Nancy: M. LAFOND VOTRE LOYER EST TRÈS EN RETARD VOUS DEVEZ PAYER TOUT DE SUITE SINON...

Qu'elle était casse couille celle-là! Je lui coupa la parole pour avoir un peu d'autorité.

Moi: Sinon quoi?

Nancy: SINON VOUS SEREZ EXPULSÉ DE VOTRE APPARTEMENT!

C'était à se moment qu'elle me raccrocha au nez. Où allai-je trouvé tout cet argent? Je n'avais plus aucun sou dans mon compte à cause de cet boisson de malheur. Je ne savais plus quoi faire.... Aujourd'hui je ne travaillait pas, alors je allais au bar, pour oublier qu'il fallait que paye cette dame. Le barman, habitué de me voir, me servi du cognac avec de la glace.

-Salut, encore soul d'hier Lewis? me dit-il pour engendré le conversation.

-Bonjour, j'ai pas envie de parler, dis-je pour ne pas qu'il me racontes sa vie.

-D'accord, j'espère que cet fois si ça ne va pas être moi qui va te sortir? Ne fais plus jamais de conneries dans mon bar sinon tu ne vas plus remettre tes fesses ici, même si tu es mon plus grand client, je te préviens, dit-il avec un ton menaçant pour me faire peur.

-Hey j'ai seulement exploser la gueule de cet homme qui m'insultais. Je me suis seulement défendu, dis-je pour me défendre.

Je bu mon verre en 5 gorgées et puis paya le type du bar. Je m'en alla parce que je devais me changé les idées et ce n'était pas dans se trou à rat que grand chose allait se passer. En me promenant dans les rues de Paris j'aperçus des vieux appartements à louer en bons états. Vu que c'était visite libre je décida d'y aller jeté un coup d'oeil. Quand je rentra à l'intérieur j'avais l'impression d'être chez moi. Il était accueillant, remplie de vie et de lumières. Il était tout simplement magnifique. Je nota le numéro de téléphone du propriétaire et partie avec l'esprit pleins de rêve. Si j'habitais là-bas serais-je plus heureux? Serais-je un meilleur homme? Car cette vie que je menais en se moment est tout simplement insupportable. C'était peut-être juste un appartement qui pourrait tout changer. Parce que mon vieux appartement cache des souvenirs que j'aimerais à tout pris oublier.

Je rentra dans l'immeuble qui est soit disons "mon chez-moi". Je passa par les escaliers de secours pour ne pas croiser la propriétaire. J'ouvris la porte comme tout les gens qui veulent entrer dans une pièce avec une porte. En entrant je pu voir que tout est rangé, propre et récurer de fond en comble. Ça faisait à peine deux heures que j'avais quitté cet endroit de malheur et maintenant il était propre comme un sous neuf. Qui avait fait ça? Je rentra à l'intérieur et j'ai l'impression de ne plus reconnaitre mon appartement. Je pénètra dans la cuisine et j'entendis un bruit sourd venant de plus loin. Mon coeur commençait à battre vite et mes jambes tremblait comme les feuilles en automne. Je pris un chaudron que je trouvais à ma guise et le soulèva à deux mains dans les airs pour faire peur au voleur, mais dans le fond j'étais terrifié et j'avais envie de me cacher. Je regarda autour de moi et je tomba nez à nez avec Stacy, une strip-teaseuse qui fait des services à la maison. J'échappa mon chaudron par terre et elle sursauta surprise de me voir.

-Stacy, mais que fait tu chez moi?! Tu m'a fait super peur! Demandais-je pour savoir qu'est-ce qu'elle foutait chez moi.

-Hier, tu es venu me dire de passé demain après-midi alors me voilà. En passant, tu devrais fermer ta porte à clé et faire du ménage plus souvent ça ne ferais pas de tort à ce lieux modique, dit-elle pour expliqué ça présence.

-Désolé j'étais soul hier, reviens une autre fois j'ai pas envie, dis-je pour qu'elle quitte ma demeure.

-Minute papillon, j'ai quand même fait le grand ménage dans TON appartement, dit-elle en mettant l'accent sur le ton.

-Tiens dix euros maintenant au revoir, je lui tendis le billets de dix elle me un signe de tête pour dire qu'elle en voulait pas juste dix euro.

-Quinze je ne monte pas plus haut. Je te n'es pas demandé de faire le ménage tout de même, explique-je pour ne pas vidé mon compte de banque dans ses poches.

- Ok allons-y pour quinze, dit-elle en prenant mes billets et elle marcha jusqu'à la porte d'entrée.

Dans ma tête j'avais envie de reprendre le chaudron que j'avais laissé par terre et lui lancé dessus. Même les putes sont des putes! Après cette réflexion dépourvue de sens, parce que les putes ce sont forcément des putes, je allais regarder la télévision avec un sac de chips. Ça fesait 13 jours que je dors jamais et que je ne mange pas beaucoup. Je me dis à ce moment que vu qu'on est en vacances pourquoi pas piqué un somme. Ça ne pouvait pas me faire du mal. Je m'endormis ensuite sur mon canapé.

Miroir, miroir..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant