Cette nuit encore, je n'avais pas réussis à trouver le sommeil alors que pourtant je suis rentrée à 3 heures du matin. Je descends au garage et commence à bidouiller l'une des mes voitures. Celle que j'avais prise à ma première course contre le frère d'Antoine.
Une magnifique Porsche 918 Spyder noir carbone avec un moteur hybride essence et électrique, avant électrique synchrone de 129 chevaux et arrière électrique synchrone de 156 chevaux, moteur arrière centrale V8 atmosphérique de 4593 cm3, puissance maximum de 887 chevaux, transmission intégrale, différentielle arrière actif, boite de vitesse PDK 7 rapports. (Si il y a des passionner de voiture ^^)
Je commence à la nettoyer et à revoir quelques réglages moteur. Je la démarre et le ronronnement que produit le moteur de mon bijoux provoque une monté d'adrénaline en moi, me donnant envie de rouler aussi vite que possible, brisant le doux silence qui plane sur notre ville, de zigzaguer entre le peu de voiture circulant à cette heure ci, puis les souvenirs de l'accident resurgissent et je retire la clé du contact comme si j'allais attraper la peste et m'en éloigne le plus possible pour finalement quitter le garage presque en courant.
Je saisis mon portable et fait défilé les contacts à la recherche de son nom.
J'ai envie de parler, j'ai besoin de parler, de vider une partie de mon sac, de me confier à quelqu'un. Antoine décroche la voix rauque montrant clairement que je l'ai réveillé. Je respire un bon coup histoire qu'il n'entende pas mes sanglots quand je lui parlerais.
« Ecoute qui que tu sois, il est 5 heures du matin donc au revoir ! »
« Ouais ... je désolé bonne nuit »
« Angèle ? »
« Oui, désolé de t'avoir réveillé »
« Qu'est ce que tu as ? »
« J'avais besoin de parler et vu que tu m'avais dit que tu serais la alors ... enfin bref bonne nuit »
« Non attends, j'arrive tout de suite et on ira marcher pour que tu me parle »
« Ok merci »
« De rien ma belle »
Il raccroche et 10 minutes plus tard m'annonce par message qu'il est en bas. Je sors et on commence à marcher sans vraiment aller à un endroit précis.
« En faite je voulais te parler de ma rencontre avec on frère »
« Je suis curieux de savoir »
« Tu ne me prendras pas pour une psychopathe après sa »
« Non t'inquiète pas vas-y je t'écoute »
« Bien et tu ne m'interromps pas »
Il acquiesce et je respire un bon coup comme pour reprendre un peu de courage.
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The Mechanic
Action"Ecoute moi bien j'ai beau être fou de toi la tu me casse royalement les couilles alors dégage de mon passage je dois aller faire ma course et revenir vivant et vainqueur et quand j'aurais gagné cette course et même si je la perds tu dégage de ma vi...