Quand on arriva a l'appart, je me diriger rapidement vers la chambre dans laquelle je m'isoler. Je me mis à réfléchir quelques minutes, à penser.. Tout simplement...
Puis les larmes me montèrent.. Je n'étais qu'une gamine complètement paumée... Sans parents... Sans familles... Sans avenir... Alors j'allume et une clope.. Puis je pris le cutter que j'avais emporté de chez moi, et je commencer à me mutiler le bras de toutes mes forces, sortant ma rage tant que je le pouvais. Plus je pleurer, plus j'étais enragée, plus cette lame s'enfoncer dans ma peau et plus je pleurer à nouveau. À bout de force, trempée de larmes et de sang, je n'arrivais plus à m'arrêter...
Lucas était dans le couloir, et quand il entendit mes pleurs, il rentra. "C'est quoi, ce ?! Émilie..."
Il m'enleva le cutter des mains, le posa sur le lit et s'accroupit face à moi :
"Sa va vraiment pas ma puce... Vient..."
Il m'emmena dans la salle de bain.
"Faut que tu prennes une douche, t'es pleine de sang..."Il commença à m'aider à me déshabiller, puis il s'arrêta, gêner :
"Eu.. Désolé, je... Je te laisse ton intimité, je vais nettoyer le tapis.."
"Je suis désolé..."dis-je en sanglotant.
Une fois sortit de la douche, enroulée d'un peignoir, je rejoignis Lucas sur le canapé :
"Sa va mieux ? Viens assis toi la." Il m'assit à côté de lui.
"Oui, je...je..."
Il m'embrassa sur le front et me pris dans ses bras.
"Sa va aller... Sa va aller..."
Il parité dans la salle de bain et revint avec une trousse de secoure.
"Donne moi ton bras"
Il prit mon avant bras, laissant découvrir des entailles dans ma peau, plus profonde et sanglante les unes que les autres. Il poussa un petit bruit de compassion.
"Qu'est ce qui ta pris..?"
"Je... J'en sais rien..."
Il prit un coton avec du désinfectant et désinfecta mes plaies délicatement.
"Désolé si sa pique..."
Après ce, à il entoura mon bras d'un bandage blanc, puis posa ses lèvres dessus.
"Je veux plus jamais que tu faces ça, Émilie"
Je baisser les yeux, évitant on regard au possible. Alors il posa sa main sous mon menton et le souleva, puis il plongea son regard dans le miens :
"Promet le moi.."
"Je peu pas..."