C'eût le temps avant les grandes catastrophes. La vie fût plus simple, les grands inventeurs ont continué améliorer notre vie et il paraît que tout est fini, il n'y a plus des guerres ni des querelles politiques ; les enfants jouaient dehors tandis que leurs parents eux fixaient par le balcon, les fleurs florissaient partout et une brise froide et douce décorait le ciel bleu aux nuages doux et blanc comme le neige. C'eût les beaux temps, le silence, l'amour et la solidarité dominent en Europe, mais cela ne dura plus longtemps.
Les rues se donnaient devant la jeune fille et les petites falaises connues cochonnées par les maisons aux toits bleus, lui signait la sécurité. Joévine se retrouvait à la ville de Luxembourg, carrément heureuse et contente d'arriver sa patrie. Bouleversée et horrifié de tout ce qu'elle passé déjà, Joévine se déplaçait vers un banc aléatoire au bout du bouloir pour vouloir respirer et se rassurer de son long trajet (ou fuite). Elle savait maintenant qu'elle est en sécurité, alors qu'elle fût toute seule dans la rue.
- Meng Lëtzebuerg* ... Murmura-t-elle. Quelle délivrance !
* Mon Luxembourg
Néanmoins, lorsqu'elle aperçut le soleil se couche, elle réalisa qu'elle n'a pas une place pour passer la nuit, ni du fric pour payer une chambre dans une auberge. Tout à coup, toutes les sensations de la sécurité et du soulagement, furent remplacées par la peur et la crainte. Elle réalisa qu'elle est lointaine de son château auprès de Capellen, sans aucun moyen d'arriver dans les paysages luxembourgeois, car elle n'avait pas du fric. Elle se lever du banc et avancer vers le centre-ville, espérant de trouver quelque solution ou une personne généreuse qui soit prête lui seconder. En avançant, elle remarquait une maison isolé à la française, situé sur une falaise isolé et plus haut que les autres. Tous les mémoires de son enfance ont surgit dans sa tête et lui firent peur, alors qu'elle savait profondément que c'est sa seule chance de ne pas passer la nuit dans la rue. Elle ne voulait pas revenir dans les bois et vivre à la feuille et à l'eau ; pendant quasiment dix mois elle ne mangeait que des feuilles, baies et des petites noix qu'elle trouvait, et vit dans un terrier d'un renard sur son lit en feuille. Elle toujours recherchait le château de Miracline, sa belle-mère mais en vain ; elle ne voulait pas demander les passants craignant qu'ils sont les gens qui lui pourchassent. Elle fût coincé dans les bois jusqu'à il y a semaine soir, où elle entendit deux hommes parlaient d'arriver à Luxembourg la capitale ; en leur suivant en secret, c'est ainsi elle arrivait à la ville après si longtemps.
Joévine s'est levé du banc et montait sur le chemin vers la falaise isolée. Elle passait Place Guillaume, et s'amusait bien d'entendre les passants parlent allemand, français et surtout luxembourgeois, la langue qu'elle n'ait pas entendue depuis longtemps. Elle pensait sur celle-ci, une combinaison parfaite de français et allemand, à quelle on puisse sentir les cultures qui s'entremêlent dans ce petit pays et créent une nouvelle culture unique. Elle sentit les fleurs et caressait un petit chien, tout à coup la vie lui semble douce et innocente, alors qu'elle fût si envieux de voir les gens standards vient leur vie ; promènent leurs chiens, achètent des petit-pains chez le boulangers et s'assoient sur les bancs et tout simplement discutent.
Elle quittait Place Guillaume et avançait vers la maison isolée ; elle ne savait pas pourquoi elle se dirigeât vers cette nulle part, puisque quelque chose d'incompréhensible lui attirait, on ne sait pas si ceci est la curiosité de la jeunesse ou le désespoir. Le soleil menaçait se coucher et laisser Joévine toute seule. Ses dernières rayures signaient les gens revenir chez eux – et comme les places de la ville eussent bondés de gens, ainsi, ils se sont vidés rapidement comme des salissures balayé par un nettoyeur. Mais Joévine avançait toujours, effrayée et courageuse à la fois, mais comme elle jette des clins d'œil partout, entrevoyant les femmes insèrent leurs enfants, les chats entrent par la fenêtre et les hommes rentrent du boulot, les souvenirs oubliés ont brusquement commencé inonder sa tête.
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Joffer Joévine
HumorUne fille et un vieillard retrouvent leurs souvenirs contre la menace d'un vieux ami à gâcher le temps que l'on connaisse