Part 1

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Aujourd'hui je dois allez à l'école, des 7h nous sommes tous réveiller. Les mamans sont toutes devant le village nous donnant des conseils comme chaque matin accompagner de douhas (bénédiction). Nous prime la route, entre les feuillages, les plus grands donnant la main au plus petit. Nous étions en train de marcher quand un petit garçon de mon village se mis à hurler, je couru vers lui et mis ma main sur sa bouche pour ne pas qu'on nous repère et je vois devant lui un cadavre. Je ne pourrais pas vous expliquer ce que j'ai ressenti à ce moment même, de la pitié ? De la peur ? Ou de la haine ? A vrai dire j'étais nostalgique j'étais comment dirait-je habituer à voir des cadavres à chaque coin d'arbre, enfants, pères, personnes âgée, femmes enceinte. C'est gens-là étaient cruelle, sans pitié, mais Allah est grand et tout se paye un jour ou l'autre. Je pris la main du petit garçon en silence, Zeïna enleva sa veste et la mise sur le visage du cadavre de la femme morte. Zeïna est ma sœur de cœur, ma meilleur amie, ma confidente quoi, elle vit seulement avec son grand frère et son oncle, elle a perdu son père qui était partis pour ce battre et sa mère est morte de tristesse. Nous continuons notre chemin, enfin arriver en ville il est 7h56 nous accélérons nos pas et arrivons à l'heure à l'école. Nous sommes dans une école Arabo-française, on nous incultes aussi la religion musulmane. Je vais vous passer ma journée, une journée tout à fait banal, mis à part que l'école je m'y accroche je suis en début d'année de 1ère, je veux réussir et devenir quelqu'un dans ce monde, et essayer de changer des choses dans certains pays, tout d'abord en commençant par la Palestine ...Supprimer le commentaire[Conversation en arabe] Grand-Mère : Yassira ma fille vient Moi : Oui ? Grand-Mère : Tient prend cette enveloppe, tu vas m'écouter très attentivement. Dedans il y a un faux passeport et une fausse pièce d'identité, une grande somme d'argent. Dans moins de deux mois tu vas rejoindre ta famille Je venais d'être littéralement sous le choc de ce que venait de me dire ma grand-mère. Elle ne pouvait pas me faire ça, pas à moi : Moi : Mais grand-mère, pourquoi ? Et toi ? Grand-Mère : Mais tu sais je me fais vielle, au temps que je meurs avec dignité sur mon territoire natale. Moi : Non il est hors de question que je te laisse ici seule ! Grand-Mère : Si tu m'aime Yassira, part, part rejoindre ta famille en France. Va te marier et faire une belle famille, fait ta vie là-bas, ici tout est détruit je te donne 3 mois avant que les militaires viennent tous nous fusiller ! J'étais limite en pleure, ne voulais pas laissez ma grand-mère ici. Je la prends dans mes bras la remerciant pour tout ce qu'elle faisait pour moi. A travers nos larmes et nos câlins, on s'exprimait, je me détache difficilement d'elle et la regarde dans les yeux, c'est yeux si claire, si puissant, remplies de larmes et de désespoirs. Je lui embrasse le front et l'aide à finir de manger son repas. Une fois ma grand-mère coucher, je sorti de notre petite maison, fin si je pouvais encore appeler sa une maison mais plus tôt une tante, je me suis mise à frapper à la porte de mon amie Zeïna, elle m'ouvra et fut surprise, sûrement dût à mes yeux gonfler et rouge. On s'installa devant la porte de sa maison et je lui annonçai la nouvel :Supprimer le commentaireZeïna : Mais ... Mais ... Comment ça tu pars ? Moi : C'est ma grand-mère qui le veut Zeïna : Je voudrais bien partir d'ici moi aussi, j'en ai marre de la guerre, nos frères tuer nos sœur violée et assassiner, nos maison brûler détruire, un peuples qui crie à l'aide mais tout le monde fermes les yeux !!! Zeïna était déboussolé, elle laissait ses petites larmes coulée sur sa peau blanche, elle est très fragile ma Zeïna. Elle exprimait sa colère. Je ne savais pas quoi lui dire mis à part : Moi : Ils le payeront ... Allah ou Akbar *Dieu est grand * tous! Je t'assure qu'ils le payeront

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⏰ Last updated: Jul 29, 2016 ⏰

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De Palestine a Marseille j'ai enfin pu reconstruire la vie qu'on m'a détruiteWhere stories live. Discover now